1. Notre notaire confisque ma petite culotte (Episode 5)


    Datte: 13/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Camille_CBT, Source: Hds

    ... par des personnes aussi compétentes."
    
    Je m'approche en me dandinant comme un canard.
    
    Moi Camille :
    
    "Allo Maman"
    
    Ma mère :
    
    "Allo ma chérie..."
    
    Moi Camille :
    
    "Tout va bien maman, je m'occuperai de l'accueil et du secrétariat, je n'ai pas encore vu Maître Duriez qui m'attends ce lundi, mais cela devrait aller."
    
    Ma mère :
    
    "J'en suis sûre ma Chérie, c'est un Monsieur charmant que je connais très bien. Il devrait être à la retraite depuis six ou sept ans, mais tu verras, il est encore très dynamique."
    
    Maître Berney à ma mère :
    
    "Oui, tout à fait, vous m'entendez Madame B.? J'ai mis main libre. Oui, Camille viendra rendre une petite visite à maître Duriez après-demain. Il nous faut son accord"
    
    A mon oreille, moi Camille :
    
    "Tu lui montrera ton cul petite salope et tu lui lécheras les couilles et aussi le trou du cul. Tu verras, il adorera. »
    
    Maître Berney à ma mère :
    
    "Vous savez, Camille sera chargée de la prise de rendez-vous, du standard et surtout de l'accueil. La présentation est importante dans notre étude. Jupe et chemisier obligatoires. »
    
    A mon oreille, moi Camille :
    
    "Tu as compris ma poule, tu viens en jupe et avec dessous bas noirs et porte-jarretelles.
    
    Tu dois te débrouiller pour être très classe, une fille de bonne famille bien comme il faut en apparence mais avec des dessous de pute.
    
    Tu nous montreras ton cul et on prendra des photos. »
    
    Et j'en passe, la conversation s'éternise et pendant tout ce temps les deux ...
    ... notaires n'arrêtent pas de me tripoter les seins en me susurrant un tas d’obscénités.
    
    Je ne pouvais rien faire avec ma maman au bout du fil. Je devais m’efforcer d’écouter et de répondre. J'avais un mal fou à me retenir de crier. Ils prenaient un malin plaisir à me pincer et à me triturer les bouts dans tous les sens. Une petite minute de manipulation avait suffit pour que je me retrouve follement excitée, tétons et mamelons tout érigés.
    
    En triplant de volume mes mamelons déformaient complètement la pointe de mes deux petits nichons en forme de poire, les faisant ressembler à des obus. Cette tension qui exacerbait ma sensibilité avait le don de les ravir.
    
    Et plus mes mamelons disproportionnés ressortaient, faisant saillir mes tétons, plus ils les tripotaient, les frottaient, les léchaient et les mordillaient.
    
    « On va bien s'occuper de toi ma petite Camille, tu vas voir comment on va te faire monter le lait à force de te caresser les nichons et de te téter les bouts. »
    
    Ce détail de leur conversation m’était revenu d’un coup en sortant précipitamment du parking. Sur le coup, je n’avais pas vraiment prêté attention au sens littéral de leur phrase, mais ensuite, ils avaient longuement et bien graveleusement insisté sur le sujet.
    
    Je n’ai pas tout retenu. Je peux simplement citer les déclarations qui m’avaient le plus choquée.
    
    « On s'y mettra tous les trois et tu ne pourras plus te passer de ces séances.
    
    Pendant ton stage, matin, midi et soir chacun de nous te ...