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Notre notaire confisque ma petite culotte (Episode 5)
Datte: 13/01/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Camille_CBT, Source: Hds
Quelques instants plus tard, je me retrouvais seule sur le palier du premier étage avec une furieuse envie de me précipiter vers les toilettes les plus proches. Je descendis le plus rapidement possible les escaliers en transportant tout leur pipi dans mon ventre. J'étais pleine d'eux. J’avais tout simplement servi de cabinet à ces deux porcs, ils m'avaient bien remplie les salauds. J'ai très honte de l'avouer, mais dans les jours qui suivirent, je mouillais ma culotte à chaque fois que je revivais ces moments incroyablement pervers. Dans le même temps, je sentais ma gorge se dessécher et mes joues rosir jusqu'à me brûler. Cela était très gênant, car cela se produisait invariablement lorsque j'étais en compagnie de mon petit ami ou de mes parents. Autant de personnes qui avaient indirectement et sans le savoir participé à ma dépravation en me téléphonant au moment crucial. Me voilà dans le rue, j'hésite quelques secondes. La piscine municipale de Montchoisi est juste en face, il y a également une patinoire. Je connais bien les lieux et je comprends que je n'aurais jamais le temps d'aller jusqu'aux toilettes qui se trouvent dans le bâtiment. Je tourne alors à droite dans l'avenue Servan et tout de suite me précipite dans le parking de l'immeuble. Ce parking privé, en plein air, donne directement dans la rue. Il est accessible à tous mais je n'ai pas le choix. Je m'accroupis entre deux voitures. Je ne peux plus me retenir, j'ai le ventre tout ...
... gonflé. Aussitôt le plug retiré, je commence à me vider de partout. Je n'ai même pas le temps de baisser culotte. Je suis en train de souiller ma deuxième culotte de la journée ! Quelle idiote je fais, mais c'est si bon de se soulager à nouveau dans cette fichue culotte confisquée. En retirant le plug, le trou dans mon fond de culotte d’ou sort la queue de cochon s'est élargi et les gros jets de pisse qui jaillissent de mon trou du cul atterrissent directement sur le bitume. Peu m'importe d'être vue depuis les nombreux vis à vis de l'immeuble d’en face. Je me libère bruyamment. Tout se passe comme ces deux vicieux de notaire l'ont prévu en m'obligeant à conserver en moi jusqu’au bout du bout leur lavement ignoble. Deux jets abondants sortent maintenant d'entre mes cuisses car moi aussi j'ai envie, je pisse pour trois et en pleine rue ! Je ne suis qu'une vilaine pisseuse qui n’a réussi qu’à faire quelques mètres dans l'avenue Servan. Je mets un certain temps à me rajuster. Trouée et souillée, ma culotte confisquée est définitivement hors d'usage. Je la jette sous la voiture la plus proche et tant bien que mal, j'essaye de m'essuyer avec mon dernier paquet de kleenex. Je reste accroupie et me tortille en jetant des coups d'oeils inquiets de tout côté. Cette impression permanente d'être observée ne me quitte décidemment pas. C'est seulement alors que je réalise que dans ce parking, je suis carrément sous la fenêtre de l'étude et je ne peux m'empêcher de revivre une nouvelle fois ...