1. Tante Sarah et moi


    Datte: 05/02/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, oncletante, gros(ses), groscul, laid(e)s, piscine, magasin, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral init, prememois, Auteur: Olisen, Source: Revebebe

    ... en elle, qui se marre et relâche son étreinte. Elle me tapote ensuite la joue en me demandant :
    
    — Alors, ta p’tite voisine, elle t’a fait ça quand tu jouais au docteur ?
    
    Elle s’enlève et contemple ma queue démotivée et souillée. Passant d’abord une main sur mes bourses – sensation divine – elle plonge cette fois sa bouche vers mon sexe pour le nettoyer. Censée clore nos ébats, sa caresse buccale me revigore, mais Caroline se relève trop vite…
    
    — Je vais me doucher ; et dis pas merci, surtout, me fait-elle avec un sourire malicieux.
    
    Je reste seul étendu sur ma chaise longue. La tension est retombée, à l’inverse de mon sexe qui reste dressé après la petite gâterie finale. Je réalise finalement que j’ai pris mon pied comme jamais, mais c’est sans doute pas le cas de Caro, et j’ai envie de prolonger ce moment le plus longtemps possible. Je me décide donc à la rejoindre.
    
    D’une porte entrouverte s’échappe de la vapeur d’eau ; elle est forcément là. J’entre dans la salle de bain et je la trouve immobile sous le jet d’eau. Avec les parois en verre, je la vois, mais elle ne m’entend pas jusqu’au moment où j’ouvre la cabine de douche. Je constate à son sourire qu’elle a déjà compris.
    
    Cette fois, je veux diriger la manœuvre. Je la tourne et la plaque contre le verre frais de la cabine, je lui mange le cou et caresse sa vulve en même temps. Sa main descend vers mon sexe et l’amène à l’entrée de son bijou. Elle se cambre pour mieux s’ouvrir à moi, et je replonge en ...
    ... elle. Cette fois, je ne ressens pas la moindre résistance : juste un va-et-vient entrecoupé de nos cris de plaisir et de ses fesses mouillées qui claquent sur mon pubis au rythme de mes coups de reins. Comme je résiste mieux à l’excitation, je ne ménage pas Caro et elle en redemande avec sa main contre ma fesse qui m’attire au plus profond de son corps. Je me paye même le luxe d’écarteler son cul pour mater son anneau plissé. L’idée d’y mettre un doigt m’excite encore plus. Du coup, j’augmente encore la cadence, et elle monte dans les aigus. J’accompagne son râle de jouissance et je m’écroule à moitié sur elle. Elle se retourne et me dit « merci ».
    
    Quelques heures plus tôt, j’étais prêt à la baffer ; désormais, nos langues s’emmêlent. On se lave l’un l’autre puis on sort de la douche. Je suis épuisé, mais bienheureux. J’ouvre la porte de la salle de bain… et je tombe sur tante Sarah, les bras croisés, le regard noir.
    
    — Vous vous foutez de moi ? Je vous ai entendus baiser depuis dehors ! Allez chercher vos fringues, et tout le monde rentreillico. Caro, on aura une discussion dans quelques jours. Toi, Florent, tu vas la sentir passer, ce soir.
    
    Dans la voiture, j’avais le visage fermé comme les autres, mais intérieurement je baignais dans une euphorie totale. De retour à la maison, j’étais prêt à faire mes valises, mais finalement ma tante était pas très nette dans cette histoire, et je la voyais mal expliquer certains détails à mes parents. J’ai finalement pris une grosse ...
«1...3456»