Tante Sarah et moi
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
oncletante,
gros(ses),
groscul,
laid(e)s,
piscine,
magasin,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
prememois,
Auteur: Olisen, Source: Revebebe
Moi, c’est Florent. Le bac en poche, j’ai emménagé depuis quelques semaines chez ma tante Sarah à La Rochelle. L’occasion pour mes parents d’économiser un loyer en échange d’une petite pension pour Sarah, le deal étant pour moi de tenir le magasin en cas de besoin. La quarantaine (bien) passée, ma tante Sarah vivait seule dans un appartement avec deux chambres au-dessus de sa boutique de souvenirs. Brune avec une coupe au carré, timide, voire réservée, elle n’a pas eu d’homme dans sa vie depuis un bail, surtout depuis qu’elle a pris quelques kilos avec l’âge, passant de plantureuse à boulotte.
Au cœur de l’été, il fait bon vivre à La Rochelle, surtout pour un jeune mâle qui veut croquer la vie… et plus encore les filles. Tout le long du Vieux-Port, de jeunes et jolies touristes, étudiantes, serveuses… Oubliée ma petite copine et nos premières expériences malheureuses ; c’est l’endroit parfait pour passer au cran supérieur dans ma relation avec la gent féminine. Dans l’esprit de mes parents, j’allais étudier l’Histoire, mais en réalité, libéré du carcan familial, je comptais bien profiter de la vie pendant un an.
Malheureusement, dormir le jour, bader à la plage en fin d’après-midi et traîner dans les bars le soir, ça ne pouvait pas durer éternellement. C’est au détour de l’escalier qui descend à la boutique que mes grands projets se sont heurtés aux réalités de la vie d’une petite commerçante. Prenant soin de m’écarter du gros popotin de Sarah qui remontait à ...
... l’appartement après la fermeture, celle-ci se retourna pour me demander :
— Florent, tu vas où ?
— Je vais rejoindre des potes en ville.
— Et m’aider au magasin, tu t’y mets quand ? Tu vis ici depuis un mois, mais on a même pas passé cinq minutes ensemble, même pas un repas. C’est pas l’hôtel ici ! J’ose pas aborder le bordel dans ce qui te sert de chambre.
— Je sais, tantine, mais j’ai besoin de décompresser…
— Arrête de te foutre de moi ; c’est quoi, ton stress ? Tu rentres que pour bouffer et pioncer, tu zones le reste du temps. Ah, OK, elle est dure, ta vie !
Elle avait fait mouche, et ça faisait mal ; mes parents y allaient moins fort à la maison.
— Parce que je veux épargner ma sœur, je te laisse une chance, mais selon mes règles : tant que les cours n’ont pas repris, tu bosses à la boutique avec moi, petit déjeuner et déjeuner avec moi les jours de boulot, et tu participes un minimum aux tâches ménagères. Si ça te plaît pas, tu rentres fissa chez ta mère. C’est clair ?
— Très clair, ma tante.
Remontant l’escalier, serrant les mâchoires, je prends soin de ne pas croiser son regard. J’ai passé le reste de la soirée dans ma chambre sur un jeu vidéo, à rager contre cette vieille peau.
*****
Le lendemain matin, je la rejoins dans la cuisine pour manger un morceau avant d’ouvrir le magasin. Tante Sarah boit son café, lève les yeux, et souriant elle me lance un :
— Hou là là, il va neiger : tu t’es levé avant 9 heures !
J’ai mal dormi, je suis à cran, il en ...