Tante Sarah et moi
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
oncletante,
gros(ses),
groscul,
laid(e)s,
piscine,
magasin,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
prememois,
Auteur: Olisen, Source: Revebebe
... faudra pas beaucoup plus pour démarrer une belle engueulade. J’attends le bon moment ; elle termine sa tasse, je la scrute. Elle prend une clope. Je suis prêt à vomir un tas d’insultes. Elle allume sa clope. Je vais lui sauter à la gorge ! Elle s’étire sur le dossier de sa chaise en tirant une latte, et je… suis désarmé par les deux grosses mamelles pendantes, moulées par sa chemise de nuit. Derrière l’ogresse se cache donc une femme !
Une forte érection me sort de mes pensées, et je me rapproche prestement de la table pour masquer la bosse de mon caleçon. J’étudie la composition chimique de mes céréales pour ne croiser ni son regard, ni sa poitrine. Loué soit le carbonate de calcium ! Ne voyant pas mon petit manège, elle se lève pour aller à la douche ; je ne peux m’empêcher de regarder ses grosses cuisses en lâchant un soupir.
Je retrouve ma tante en bas un peu plus tard pour qu’elle m’enseigne grossièrement ce qu’elle attend de moi. Je finis par m’asseoir devant la caisse pour qu’elle m’en explique les rudiments. Debout derrière moi, elle me pose une main sur une épaule et se rapproche de l’autre. Ma concentration est mise à mal lorsqu’elle se penche en avant, collant un sein contre mon dos. Même prisonnière d’un soutif, sa poitrine me transporte à nouveau dans un état de béatitude. Je joue à faire durer le plaisir en lui posant un max de questions et en bougeant un peu pour profiter du frottement. Je hume son parfum quand elle m’abandonne… Et merde, je fantasme sur ...
... ma tante Sarah ! Je suis vraiment un loser !
Le reste de la journée est insipide ; j’ai vendu des assiettes décoratives à des mamies, des cartes postales aux touristes allemands, des caramels au beurre salé… À la fermeture, j’ai pas demandé mon reste à tante Sarah. Direction le Vieux-Port pour boire une mousse en terrasse et mater des p’tits culs.
*****
Aujourd’hui, c’est samedi ; j’ai hâte de retrouver mes céréales, et surtout les gros lolos de tante Sarah. Malheureusement, celle-ci n’est pas dans la cuisine : elle est déjà dans la boutique pour préparer la plus grosse journée de la semaine, une sale journée en perspective pour un glandeur. Et comme prévu, on n’a pas vu le jour. Pire encore, comme il y a toujours des clients à la fermeture, elle me demande de finir seul, le temps qu’elle s’absente pour récupérer je ne sais quoi. Je me sens exploité ; bientôt elle m’enverra à la cave confectionner des contrefaçons ! Je torche vite fait les derniers clients pour éteindre la lumière et apposer la pancarte « Fermé » sur la porte. Enfin !
Ruiné, j’ai même pas envie de sortir ni de manger ; juste dormir… Je clôture vite ma caisse lorsque j’entends le carillon d’entrée du magasin. Une tête passe la porte et me dévisage.
— On est fermé, Madame.
— Ah… T’es le branleur !
— Quoi ?
— T’es le neveu, le p’tit branleur. Elle m’a parlé de toi. Je suis Caro, une copine de Sarah ; je bosse à la boulange à côté. Elle est là ?
— Non, elle revient dans un instant. Vous pouvez ...