1. 59 – J’ai trompé mon mari pendant qu’il faisait la garde sur le toit (1) :


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... dans mes entrailles, le monde n’existait plus pour moi que ce pieu de chair merveilleux. Il a réussi à m’offrir trois orgasmes qui ont fait vibrer tout mon corps. Nos gémissements rauques et nos souffles accélérés étaient à l’unisson et nous ne formions qu’un seul corps de plaisirs et de jouissances. Enfin, comme récompense de notre union, nous sommes arrivés ensemble en même temps aux dernières jouissances. Juste au moment où je lâchais mon quatrième orgasme, mon jeune amant arriva à son top et se déchargea les couilles par trois jets puissants et brulants. A chaque jet, il l’accentuait par un coup de rein qui collait mes fesses au mur. Ce fut une apothéose dans ma chatte et mon corps. Comme tout à l’heure, j’ai pensé que cette niquée était mon vrai dépucelage et ma nuit de noces et j’y étais entièrement acquise, sans un grain de regret ou de honte. J’ai pensé qu’au contraire, mon mariage avec le vieux et mes nuits entre ses bras étaient un échec et presque une punition pour ma belle chatte affamée et pour mon corps rempli pour le plaisir sexuel. Mais maintenant que j’ai ce gros zob et un amant engagé, je ne le lâcherais plus et chaque nuit je viendrais niquer avec lui avec plaisir. Quant il a terminé son éjaculation, nous sommes restés un long moment, collés ensemble, et son zob toujours dans mes entrailles. Je sentais bien qu’un peu de sperme suintait de ma chatte le long de mes cuisses et cela m’était agréable, contrairement au sperme de mon mari qui me gênait ...
    ... beaucoup quant il restait collé à mes cuisses.
    
    Il m’a embrassé je ne sais plus combien de fois et peloté mes seins dénudés. C’étaient des détails pour moi car j’étais totalement fixé sur l’image de son zob dans ma tête et les sensations de ses vas et viens dans ma chatte. Je fantasmais facilement et agréablement, dans ma tête, cet énorme zob qui emplissait ma chatte jusqu’au fond et me fouillait la chair en me donnant du plaisir et beaucoup de jouissances. Enfin, il sortit son zob et me dit qu’on avait beaucoup tardé et qu’il y a un risque qu’il soit cherché par ses collègues. Rapidement il prit son beau zob qui débandait et le remit dans sa pantalon et sortit en me disant « layla oukhra e’nikou thani ! zébi tah leyk ! endir 7’sabi bach e’ntaoulou ! » ( demain soir on baisera aussi ! mon zob est à toi ! je ferais en sorte pour rester plus longtemps) et il sortit dans la rue, me laissant debout, toute nue dans le couloir, la chatte pissant le sperme et la mouille qui la remplissaient. J’ai recueilli un peu de sperme pour bien l’observer, c’était difficile dans la semi obscurité du couloir. Puis, toujours nue, et avec précautions, j’ai accouru vers notre salle de bain, heureusement pas très loin et juste à côté de ma chambre. En me vidant du sperme, j’en ai recueilli encore recueilli un peu un peu pour l’examiner dans la lumière du local et, comme je le soupçonnais, il était plus blanc et plus épais et visqueux que celui de mon mari, en tout cas beaucoup plus abandon dans chaque ...
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