1. 59 – J’ai trompé mon mari pendant qu’il faisait la garde sur le toit (1) :


    Datte: 25/09/2018, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Noura, Source: Hds

    ... étaient trop proches. Il a prit le verre mais ses yeux étaient fixés sur ma poitrine dont les seins gonflaient visiblement la fine robe. J’ai mis la main sur ma poitrine et il a ricané doucement, me disant que j’avais une belle poitrine, comme sa femme. Il a constaté mon gène mais il a ajouté que nous étions voisins et comme des frères et il s’est serré encore plus de moi et m’a presque plaquée contre le mur du couloir. Il y avait une semi obscurité qui me permettait de le voir très bien. Je le connaissais depuis mon arrivée au douar et je savais qu’il avait environ trente ans et nouveau marié aussi depuis un an et que sa femme venait juste d’accoucher il y un mois. Il m’a dit que sa femme était chez sa mère depuis l’accouchement et elle lui manquait beaucoup. J’ai répondu que je le comprenais mais il me serrait un peu trop contre le mur à tel point que sa poitrine touchait maintenant la mienne et pressait mes seins gonflés de jeune accouchée. Je voulais fuir mais il me tenait coincée. Il m’a chuchoté à l’oreille que j’étais très belle et qu’il avait envie de moi. J’ai voulu le repousser, en vain. Il a ajouté qu’il avait l’habitude de faire plaisir à sa femme chaque nuit et que depuis un mois il était seul et assoiffé de plaisir.
    
    J’ai protesté que c’était interdit et qu’il y avait mon mari, mais il a murmuré que mon vieil époux était sur le toit et que j’étais seule toute la nuit comme lui. Il a murmuré encore plus bas que son zob était affolé par mon corps chaud et gonflé ...
    ... (m’tanane) à fond. Le mot m’a choqué et j’ai essayé de me détacher, en vain. Et pour me le prouver, il a farfouilla entre nos corps et sortit son « zob » de son pantalon et me le montra. Malgré la semi obscurité et qu’on était assez serrés, je l’ai vu, ce zob. Il était gros et long, énorme et bandé et il le secouait avec envie. J’avoue qu’il m’a immédiatement excité et, sans ma volonté, ma chatte explosa et ma mouille commençait à couler sur mes cuisses. Le jeune homme a du sentir mon émoi car il se recolla de nouveau et encore mieux contre mon bas ventre. Maintenant je ressentais nettement son zob dans toute sa longueur, ce qui augmenta mon excitation. J’ai tout de suite pensé au sexe de mon mari et fait la comparaison avec ce que j’ai vu et senti. Et, hélas, le zob du jeune voisin semblait être le double de mon époux en longueur et en grosseur. Cette constatation me poussa, bas ventre en avant à me coller moi aussi au zob du jeune homme, automatiquement sans ma volonté. J’ai pensé, un instant, que je devrais protester et crier, mais j’avais laissé le jeune pénétrer ma maison, et de plus, mon corps et ma chatte me disaient et faisaient le contraire. Je commençais à désirer ardemment ce gros zob qui me provoquait. Ma robe d’intérieur était trop fine et trop courte et laissait passer facilement et directement la chaleur et le désir de ce zob dans mon ventre, alors j’ai abandonné tout semblant de résistance. Mes mains, d’elles même, sont allées de chaque coté de mon corps pour ...
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