L'île aux cochons (3)
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Alix, Source: Xstory
... attendait assis sur un rocher comme un roi sur son trône. Ils ouvrirent mes jambes et présentèrent ma vulve dégoulinante de jus au pénis dressé droit sous le ventre de l’imposant bouddha.
Masaru souriait, visiblement amusé par la façon dont ses compagnons m’offraient à son désir. Il pressa et caressa mes mamelons avec ses larges mains pendant que les matelots empalaient lentement ma chatte dilatée sur son magnifique pieu de chair.
J’étais l’offrande enthousiaste de cette cérémonie primitive. Les deux officiants m’enfilaient sans faiblir par d’amples mouvements de va-et-vient. Ma chatte glissait comme un anneau sur un doigt mouillé. Je me tortillais en criant mon plaisir sans retenue jusqu’à ce que le roi Masaru, n’y tenant plus, saisisse mes hanches pour me bourrer sauvagement.
Un foudroyant orgasme m’emporta dans les étoiles.
Les hommes me défonçaient, jouissaient, se reposaient et recommençaient, l’un après l’autre ou à deux, bien profonds dans ma chatte et mon cul. C’était fantastique.
Je montrais plus d’enthousiasme et d’appétit qu’une guenon Bonobo en chaleur.
Mon dernier souvenir fut la décharge de foutre, chaud et goûteux, dans ma bouche d’un Masaru épuisé, vaincu par la douceur de mes lèvres autour de son gland et les caresses de mes deux mains entourant son magnifique membre.
— Réveillez-vous, darling !
Je repris lentement conscience. Il faisait grand jour. J’eus un instant de panique en voyant les yeux effarés de mon mari. C’était affreux, ...
... nous avions fait naufrage ! Puis, je réalisais que c’était le jour de notre sauvetage.
Heureuse, j’embrassais Edouard sur les lèvres.
— Merci pour cette merveilleuse croisière, mon chéri.
— C’est maman qu’il faudra remercier ! Répondit-il en riant.
Un an plus tard.
— Fang a réussi ses examens ! Il va se marier, l’année prochaine dès qu’il aura son diplôme ! M’annonça fièrement Edouard en me montrant une enveloppe aux timbres colorés.
— Je suis contente pour lui. Répondis-je, sincèrement.
— Qui est ce Fang ? Demanda la mère d’Edouard sans cesser de contempler les jumeaux aux visages d’une finesse aristocratique, qui gigotaient dans leur berceau.
La duchesse douairière n’attendait pas vraiment de réponse. C’est à peine si elle avait tiqué en voyant l’immense Masaru officier dans la cuisine.
Elle ne semblait pas troublée, non plus, par la peau légèrement mat et les yeux noirs des deux bébés emmaillotés que seuls leurs cheveux différenciaient. Blonds et bouclés pour la fille, bruns et lisses pour le garçon.
« Le garçon ressemble à son grand-père. » Pensa la douairière lady, émue aux larmes.
Une émotion teintée d’une once de doux remords malgré les années. Elle se souvenait comme si c’était hier de ce superbe matin de printemps passé avec Omar, un beau et moustachu pakistanais. Le ténébreux jardinier l’avait prise pour la première fois dans la serre, sur un établi de bois.
Elle frissonnait délicieusement à chaque fois qu’elle y pensait.
Le soir ...