1. Les Parques 7 & 8 /8


    Datte: 25/09/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, uniforme, noculotte, Masturbation Oral policier, vengeance, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... défaveur.
    
    De mielleux, doucereux, le ton est devenu fielleux, écœurant, l’homme se fait serpent peu à peu. À chaque phrase, il s’approche de plus en plus du lit et un frisson court sur la peau d’Amélie.
    
    Voilà qu’il se coule justement à côté d’elle, lui tapote la cuisse en « bon camarade ». Et comme elle ne réagit pas, ne le repousse pas, il oublie, « par inadvertance sans doute », cette main « amicale » et compatissante sur la cuisse.
    
    Amélie se félicite d’avoir revêtu une jupe plutôt longue, mais il lui faut un self-control ahurissant pour ne pas lui flanquer immédiatement l’énorme paire de baffes qu’il mérite amplement. La jeune femme reste de marbre, tête droite, les yeux dans le vague, visage neutre, elle se contente de ne pas réagir, sans esquisser le moindre geste qui pourrait être interprété comme une acceptation ou une invite.
    
    — Vous savez, je suis compréhensif (il serre ses doigts sur la cuisse), je suis prêt à vous écouter, à comprendre. Au-delà du pire, votre expédition punitive pourrait sérieusement entacher la suite de votre carrière. De votre prometteuse carrière ! (il réitère sa pression).
    
    Amélie baisse légèrement la tête, cherche à détendre son visage sans pour autant aller jusqu’à afficher un quelconque sourire.
    
    — Tout dépend de quelle façon on aborde les choses (nouvelle pression). De quelle façon JE l’aborde ! (la pression est forte, insistante).
    
    Elle n’en laisse rien paraître, mais Amélie bout intérieurement. Elle en arrive à craindre ...
    ... que cette colère ne lui fasse monter le rouge aux joues et ne la trahisse. Mais elle se dit aussi que l’imbécile à côté d’elle interpréterait cela pour un trouble consentant. Aussi obéit-elle de suite lorsqu’il susurre :
    
    — Regardez-moi, Amélie !
    
    Le salaud croit lui faire les yeux doux, elle, ne voit que des yeux de merlan frit.
    
    — Sachez me convaincre, Amélie… Ne vous enfermez pas dans un mutisme destructeur, montrez-vous coopérative.
    
    Cette fois, l’enfoiré exerce une légère pression sur l’intérieur de la cuisse, ouverte. Il pousse pour inciter Amélie à écarter la cuisse. Proactive, Amélie cède à la pression et entrouvre les cuisses.
    
    Le goujat affiche sa satisfaction par un large sourire, pitoyable grimace qui déforme ses lèvres adipeuses. Il se rapproche dangereusement d’elle, il lui souffle au visage, espérant certainement l’envoûter avec son haleine (heureusement !) mentholée.
    
    — Je suis sûr qu’on peut s’entendre parfaitement, toi et moi.
    
    Le salaud vient de glisser sa main entre les cuisses, sous la jupe, il enserre brutalement le sexe de la jeune femme. C’est assez, c’en est trop !
    
    Un : Amélie se dégage
    
    Deux : elle est debout face à lui
    
    Trois : elle arme son bras, ouvre grand sa main droite
    
    Quatre : il réagit et se prépare à contrer la claque
    
    Cinq : il prend le poing gauche d’Amélie, en plein dans le pif
    
    Six : Amélie s’est reculée de deux mètres et juge du résultat. Satisfaite !
    
    Sidah, tâte son nez qui saigne, se relève :
    
    — Salope ...
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