Les Parques 7 & 8 /8
Datte: 25/09/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hplusag,
uniforme,
noculotte,
Masturbation
Oral
policier,
vengeance,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... pour filer sous la douche.
Elle apprécie le jet revigorant, sa chaleur bienfaisante qui lui semble effacer ses peurs des heures précédentes, lui redonne forces et courage. Bonne humeur et espièglerie aussi. Alors qu’elle se savonne avec application, elle s’ingénie à remuer du popotin, histoire de faire la nique à son amie.
Lorsqu’elle coupe le jet, se retourne, elle ne voit qu’un immense drap de bain, tendu haut, et qui l’enveloppe immédiatement de la tête aux cuisses. Bérénice la frotte, la sèche vigoureusement, la maintient dans la douceur ouatée du linge.
Puis, d’un coup, la serviette tombe au sol.
Amélie découvre Bérénice nue, face à elle.
Dire qu’elle en est surprise serait exagéré. Ou alors, agréablement surprise !
Et elle rend immédiatement les armes : impossible de se défendre quand on braque sur vous deux formidables obus aux têtes chercheuses visiblement opérationnelles. Se baissant à croupetons, elle enferme le sein droit dans une paume, histoire de neutraliser immédiatement un des missiles alors que sa bouche avale et mordille l’autre bouton dressé.
Surprise par cette fougue, Bérénice laisse échapper un petit cri, mais ne perd pas ces moyens, et si une de ses mains capture une des armes ennemies, l’autre file directement au centre opérationnel. Vu la position d’Amélie, l’accès est parfaitement dégagé et trois soldats agiles s’engouffrent sans ménagement dans le silo profond.
Cette fois, c’est Amélie qui accuse le coup !
Dans un ...
... souffle, la jeune femme parvient à demander :
— Et Lacheneau ?
— T’inquiète pas, il est remonté…
Traîtresse, Bérénice profite qu’Amélie a abandonné son téton distendu pour lui plaquer sa bouche sur les lèvres. La guerre est finie, le drapeau blanc est hissé. Maintenant, l’heure est aux baisers passionnés, aux papouilles affolantes, aux caresses étourdissantes et prodigieusement indiscrètes. Les mains courent sur les corps, les doigts fouillent les antres secrets, les replis sensibles ; les deux femmes ondulent l’une contre l’autre, s’enchevêtrent. Bérénice pousse sa maîtresse contre le mur, la bloque :
— Laisse-moi savourer ton incroyable clito, implore-t-elle
Amélie sourit, et appuyant ses épaules au mur, elle décolle ses talons du mur, ouvre plus largement ses cuisses, projette son bassin vers l’avant. La bouche de son amante quitte ses lèvres, dégringole sans hâte dans son cou, laisse sur ses seins puis le ventre une série de baisers mouillés ; les lèvres s’attardent un moment sur le mont chauve, la langue lèche le fier belvédère avant de plonger gourmande, dans l’amoureux ruisseau. Elle néglige un court instant sa cible annoncée, avide de goûter d’abord au nectar écumant, de s’abreuver à la fontaine miraculeuse.
Les mains sur les hanches de son amante, elle prend un peu de recul pour admirer l’objet de sa quête.
— Il est incroyable ton petit Pinocchio, Amélie. J’adore !
De fait, la géographie intime de la jeune capitaine est étonnante : outre des petites ...