1. Je suis un jouet entre ses mains (16)


    Datte: 24/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... lèche divinement bien, mais je sens chacun des coups de boutoir de mon amoureux puisque la bouche de son vide-couille de service est contre mon vagin. Je m’étonne moi-même de ne plus être jalouse ni triste au vue de ma nouvelle situation. Je profite et j’en jouis, dans tous les sens du terme…
    
    D’ailleurs, je sens que l’orgasme approche. Je gémis de plus en plus, indiquant par là mon état, ce que Samia comprend immédiatement puisque sa succion de mon clitoris s’accentue. Je hurle bientôt ma jouissance sans aucune retenue, ce qui excite Thomas à tel point qu’il se répand à son tour dans le ventre de sa maîtresse.
    
    Même quand quelqu’un se trouve entre nous, nous arrivons à jouir en même temps ! J’éprouve une petite poussée de triomphe en me disant que mon amoureux et moi sommes ainsi connectés alors que Samia, elle, n’a pas atteint l’orgasme, mais je chasse vite cette pensée revêche. L’heure n’est plus à la jalousie, mais au contraire à l’union.
    
    Samia ne fait pas partie de notre couple, Thomas a été très clair là-dessus. Elle n’est qu’une friandise que l’on peut s’offrir de temps en temps, et après tout j’aime autant que lui. Il faudra sûrement encore quelques sessions avant que la jalousie ne disparaisse complètement, mais j’apprécie déjà beaucoup les changements survenus ces derniers temps dans ma sexualité !
    
    Reprenant peu à peu mes esprits, je commence à me rhabiller, puis une fois que c’est fait je m’apprête à quitter la pièce pour aller prendre une douche.
    
    - ...
    ... Ah au fait Justine, va donc voir dans le placard des tenues, j’en ai ajouté une dernière ! me lance Thomas alors que je suis sur le seuil de la porte.
    
    Je suis un peu intriguée, je n’avais pas conscience que le jeu devait continuer. Pour moi il ne s’agissait plus désormais que de mener notre vie sexuelle comme on l’entendait, à l’aune de tout ce que mon amoureux m’avait appris.
    
    Je vais donc fouiller dans le fameux placard à l’intérieur de notre dressing. En tirant sur le porte-ceintres, je les vois apparaître les tenues une par une : celle de l’écolière, celle de l’infirmière, celle de la policière, celle de la prostituée, celle de la joggeuse… Je tombe enfin sur la dernière, mais je ne comprends pas immédiatement à quel fantasme elle peut faire référence : il s’agit d’une combinaison de moto.
    
    Soudain l’évidence me frappe : ça ne correspond pas à un fantasme, c’est la tenue qu’il avait à l’hôtel !
    
    Mais c’est impossible, sa collègue Chloé m’a dit que…
    
    — J’imagine que tu as passé en revue tous les suspects possibles dans ta tête ?
    
    Je me retourne, Thomas est là à m’observer.
    
    — Oui, mais personne ne pouvait être JB !
    
    — Pourquoi ? insiste-t-il tandis que son sourire s’élargit.
    
    Il s’adosse tranquillement contre le mur. Il est évident qu’il attendait ce moment depuis un bon moment.
    
    — A chaque fois, quelque chose ne collait pas : j’ai pensé à mon collègue Alexandre, à Christopher, le stagiaire, à toi, à mon chef… il y avait toujours un moment où chacun de ...