Une banale pause-pipi
Datte: 23/09/2018,
Catégories:
hhh,
inconnu,
parking,
voyage,
voiture,
Oral
hdanus,
hsodo,
Auteur: Tom, Source: Revebebe
... me lime fort, mais sans brutalité : « virilement », voilà le mot pour ce que je suis en train de subir. J’ai du mal à garder le sexe de Marc dans ma bouche ; lui, par contre, a trouvé le rythme imposé par le routier, et si la pénétration ne m’avait pas fait débander un peu, je jouirais sûrement tant cela fait du bien. Le routier finit par dire :
— Je vais jouir !
Mais comme il ne se retire pas, j’en conclus qu’il veut jouir dedans ; ce sera une première pour moi. Dans un dernier coup, le routier s’enfonce à fond en moi, et les secousses de son chibre me donnent une idée de la puissance de chaque giclée de sperme envoyée. Quand son sexe se calme enfin, il reste un peu encore dedans, le temps de retrouver ses esprits puis se retire très lentement.
J’ai le cul dilaté et rempli de foutre prêt à sortir. Marc me dit alors :
— Viens t’asseoir sur mon visage, je vais boire le sperme ; j’aime trop ça !
Je m’avance donc légèrement. Je sens déjà le filet de sperme commencer à couler le long de ma peau. Je descends mes fesses sur son visage et me retrouve à genoux, le cul assis sur lui, et comme une outre remplie de sperme je laisse ce nectar se déverser dans sa bouche. Sa langue fouille dehors et dedans la moindre goutte à laper encore ; puis quand il a fini, il me repousse légèrement les fesses avec ses deux mains pour que je me relève.
Le routier semble avoir donné toutes ses forces dans un combat épique et s’assied le temps de reprendre son ...
... souffle. Je me penche pour lécher le sperme restant sur son gland et me retourne vers Marc pour le faire jouir à son tour. Sa bite me fait encore très envie et j’aimerais beaucoup le faire jouir dans ma bouche.
Je m’approche de lui ; il comprend ce que je souhaite et s’allonge pour me laisser faire. J’approche mon visage de son sexe, ouvre la bouche et laisse ce pieu divin s’enfoncer dans ma gorge, puis resserre mes lèvres autour et me mets à faire des mouvements de va-et-vient le long de ce vit tant désirable. Je m’applique à le sucer du mieux que je peux, guettant les mouvements de son corps m’indiquant les caresses qu’il préfère, afin de les lui prodiguer encore pour l’amener à l’extase. Enfin je sens son pieu gonfler dans ma bouche ; il dit dans un souffle :
— Je viens…
Je redouble mes efforts pour ne pas laisser retomber le soufflé, et là enfin la récompense de mes efforts : je sens son sperme épais s’éjecter sur ma langue en un flot continu. J’essaie de l’avaler en même temps, je ne voudrais pas en perdre une goutte. Puis son sexe perd de sa vigueur, commence à diminuer de volume et de taille, mais j’ai récupéré toute sa sève jusqu’à la dernière goutte. Content de moi, j’ai fait jouir deux hommes, et visiblement ils sont satisfaits : il ne m’en faut pas plus.
Marc me dit :
— Tu reviens quand ?
— Probablement jamais.
— Dommage, c’était bon ; j’aurais aimé recommencer une autre fois.
— Qui sait ? Peut-être qu’il y aura une autre fois…