1. Une banale pause-pipi


    Datte: 23/09/2018, Catégories: hhh, inconnu, parking, voyage, voiture, Oral hdanus, hsodo, Auteur: Tom, Source: Revebebe

    Un dimanche d’été où je rentrais d’un voyage à Cahors pour une transaction, je roulais sur la voie rapide et le temps commençait à me paraître long. Un panneau m’indique une aire de repos à deux mille mètres ; je décide donc de m’y arrêter le temps d’une pause-pipi. Je sais que ce genre d’endroit fourmille parfois de personnes à la recherche d’une rencontre sexuelle, et le fait d’y penser me donne des fourmillements dans le bas-ventre. Ça y est : je vais commencer à être excité alors que je suis seul et qu’il me reste de la route à faire. Clignotant mis, je sors en direction du parking et tourne pour me diriger sur l’aire des voitures. Il y a assez peu de voitures et je trouve une place aisément.
    
    Le moteur arrêté, je m’apprête à sortir de la voiture, mais mon regard est attiré par un homme au loin qui semble chercher un endroit dans les fourrés. Je souris intérieurement: j’avais raison.
    
    Je me dirige vers les toilettes. Au passage, je vois qu’il y a sept ou huit poids-lourds stationnés sur l’aire qui leur est réservée. Devant le bâtiment des sanitaires, un homme est appuyé au mur, fumant sa cigarette. J’entre pour faire ma petite commission devant des urinoirs moulés en un seul bloc et dégoulinants d’eau. J’y suis seul heureusement, car pour avoir de l’intimité, ce n’est pas le lieu idéal.
    
    Quand je ressors, l’homme n’est plus là. Je le revois en redescendant vers ma voiture : il est à côté d’un fourré et se branle nonchalamment en me regardant, son sexe sortant de son ...
    ... short court. Je ralentis et le regarde ; son sexe n’est pas trop gros mais bien droit, et je remarque son gland : la main qui fait des va-et-vient le fait disparaître sous le prépuce, puis le décalotte complètement, ce qui, sur l’instant, m’hypnotise. Comme attiré par un aimant, je ne peux faire autrement que de me diriger vers cette main en espérant y mettre la mienne à la place, ou mieux : ma bouche.
    
    — Bonjour.
    — Bonjour, je peux toucher ? Voir ton sexe m’a donné envie.
    — Sans problème, fais-toi plaisir. Je m’appelle Marc ; tu n’es jamais venu ici ?
    — Non, c’est la première fois. Moi, c’est Thomas.
    
    Je passe alors, sans plus attendre, ma main sous son short et commence à lui caresser les testicules. Ils sont doux et rasés. Je les palpe un moment sous mes doigts, puis monte ma main vers son sexe, rasé lui aussi, et commence à le lui branler. Il me dit :
    
    — Humm, j’aimerais me faire sucer.
    — OK, mais pas ici… Dans les toilettes ?
    — Je te suis.
    
    Nous remontons vers le bâtiment des sanitaires ; je pense entrer dans une cabine de WC pour être tranquille. À l’intérieur du bâtiment, un homme qui avait observé la scène à travers un brise-vue en bois se dirige vers nous.
    
    — Pédés ?
    
    Surpris, je ne trouve rien à répondre. Marc dit alors :
    
    — Oui.
    — Si vous n’avez rien contre un plan à trois, j’ai mon camion là-bas ; on y serait bien…
    
    Nous nous regardons avec Marc.
    
    — OK.
    
    En l’espace de quelques minutes, me voici avec deux autres hommes, en direction d’un ...
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