1. Histoire de soumission


    Datte: 05/02/2018, Catégories: fh, couple, amour, hsoumis, fdomine, pénétratio, Auteur: Pulzer, Source: Revebebe

    ... cela, elle me tend une boîte de mouchoirs. J’en prends un et juste à temps, le positionne sous mon gland avant que celui-ci ne dégorge son jus. Je m’assois sur le fauteuil, les jambes coupées par la jouissance. Quand je reprends mes esprits, je la vois la jupe relevée, les jambes écartées sur les accoudoirs de son fauteuil et la main en train de caresser son sexe. Je vois à ce moment-là qu’elle porte une combinaison et que l’entrejambe est ouvert, laissant l’accès à sa chatte. Elle me fait signe d’approcher et me demande de la lécher. J’avais vu des photos sur Internet et j’entreprends de reproduire ça sur son sexe. Mon premier sexe féminin vu en vrai et d’aussi près. L’odeur, la vue, le toucher et surtout le goût, je suis au paradis. J’entreprends donc de la lécher dans toute sa splendeur et de lui donner à elle aussi la jouissance. Elle est tellement excitée que ça ne prend pas longtemps.
    
    Elle se réajuste, m’embrasse et entreprend de me remettre la cage. Après l’avoir glissée dans la cage et refermé le cadenas, elle dépose un baiser sur ma queue. Elle se redresse, m’embrasse encore une fois et me glisse à l’oreille :
    
    — Tu as été très bien ce soir. La semaine prochaine, même heure. Si tu continues à te comporter aussi bien, tu auras une autre surprise.
    
    En rentrant chez moi, je prends soudain conscience de l’énormité du geste que je viens de faire en donnant les clefs de la cage de chasteté à Vanessa. Jusqu’à ce jour, je pouvais enlever la cage quand je voulais et ...
    ... faire ma toilette, aller pisser ou toute autre action intime sans la cage. Maintenant, je vais devoir passer une semaine en la gardant et en faisant tout avec. Sauf me branler. Et pourtant, ce cunnilingus était une énorme raison de me branler en rentrant chez moi. Mon premier sexe féminin vu de si près. Une ravissante chatte que j’ai léchée, et j’ai adoré son goût.
    
    Je rentre chez moi, plongé dans mes pensées. Je monte directement dans ma chambre, répondant à peine aux questions de mes parents. Une fois la porte fermée, je baisse mon pantalon et je regarde mon entrejambe encagé. Je n’en reviens toujours pas d’avoir accepté sans savoir à quoi je m’engageais. Mes parents m’appellent pour le repas et me demandent si ça va, je dois avoir une drôle de tête.
    
    Après le repas, première épreuve, je dois aller aux toilettes. Les autres fois, j’ouvrais l’attirail et j’allais pisser. Là, plus le choix, je dois faire avec. Je teste debout, mais avec les barres de métal dans tous les sens, ce n’est pas facile. Je dois donc pisser assis. Ça va faire plaisir aux filles et à ma mère si je dois m’asseoir. Non seulement je n’oublierai plus la lunette levée, mais en plus, je n’en mettrai plus à côté. Un des principaux reproches que font les femmes aux hommes. Ensuite, passage obligé au lavabo pour rincer le tout et éviter les odeurs gênantes. Tout se passe bien.
    
    La nuit se passe bien aussi, j’avais déjà gardé la cage certaines nuits. Le lendemain, la douche est une nouvelle épreuve, il faut ...
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