Histoire de soumission
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
hsoumis,
fdomine,
pénétratio,
Auteur: Pulzer, Source: Revebebe
Bonjour, je me présente, je m’appelle Stéphane, je mesure un peu plus de 1,80 m pour 82 kg, les cheveux blond cendré, assez sportif, je suis musclé, et je suis un soumis.
Non pas un soumis qui se fait battre ou utiliser comme un moins que rien ou même comme une femme, un chien ou tout autre animal. Mais je reste au service de celle qui est ma femme et maîtresse parce que je l’aime, qu’elle m’aime et qu’elle me traite bien.
Pour vous expliquer, je dois revenir un peu dans mon passé.
Je suis issu d’une famille catholique, limite intégriste. Mes parents sont très croyants et extrêmement pratiquants. Si ce n’était dû à une maladie de ma mère, nous serions une de ces familles ultra-nombreuses, car la contraception est l’invention du diable. Mais nous ne sommes que quatre enfants. Mes trois sœurs, deux plus âgées et une plus jeune que moi.
Comme tout garçon normal, j’ai connu un bouleversement hormonal au début de l’adolescence. Mais j’étais un garçon très timide et très formaté par l’éducation chrétienne de mes parents. Du coup, j’avais très peur d’approcher les filles qui me plaisaient. Je suis donc resté longtemps dans l’ignorance de ce qu’était le corps féminin. Avec les débuts d’Internet, j’ai découvert la masturbation devant les premiers sites de cul. J’étais encore jeune et la nuit, je regardais les filles sur ces sites. Mais c’était difficile, il n’y avait qu’un seul ordinateur dans la maison et il fallait se connecter avec un numéro de téléphone. Mes parents ...
... se sont rendu compte que quelqu’un se connectait durant la nuit sur Internet. Saleté de facture détaillée.
En dehors de ces soirées sur l’ordinateur, j’avais aussi une autre perversion. Je prenais les culottes que mes sœurs avaient portées dans la journée et je me masturbais régulièrement dedans avant de les remettre dans le panier de linge sale. Quand je ne pouvais pas, j’aimais bien avoir les mains dans mes poches et me tripoter la bite, m’excitant dans presque n’importe quel lieu.
Peu de temps après mes dix-neuf ans, je préparais mon bac – ben oui, j’avais redoublé une fois. Un soir, après avoir attendu que tout le monde dorme, en faisant mine de réviser, je suis allé sur l’ordinateur.
Mon père est entré dans la pièce quelques minutes après, me trouvant en train de me masturber devant des photos de filles nues dans différentes positions. Il s’ensuivit une engueulade magistrale qui réveilla le reste de la maisonnée et où furent déballées toutes mes perversions.
Le lendemain, c’était dimanche, jour de la messe. Je reçus l’ordre de rester à la maison, car j’étais impur et incapable de me contrôler. Je ne pourrais donc plus aller à la messe avant d’être passé à confesse. La pièce contenant l’ordinateur avait été verrouillée et il m’était impossible de forcer la serrure sans laisser de trace. Je retournai donc réviser mon bac.
Au retour de la messe, mes parents m’ont parlé d’une psychologue qu’ils avaient rencontrée à la sortie de l’église et qu’elle avait accepté ...