1. Une famille sexuellement débridée (9)


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... juste, répliqua Baptiste qui n’avait visiblement pas envie de se désaper en nu intégral devant ma mère.
    
    — Pourquoi pas juste ? intervint Gilles.
    
    — Vous avez un chemisier et une jupe... Nous deux on est en slip... On va forcément perdre...
    
    — Bah ! J’vais me mettre comme vous.
    
    Et ce faisant, maman commença a déboutonner son chemisier. Elle le fit le plus naturellement du moins sans la jouer striptease. Les mecs se regardèrent. La pomme d’Adam roulait dans la gorge, Baptiste rougissait.
    
    Maman est vraiment très belle. Quand le chemisier fut posé sur le dossier d’un fauteuil, elle vira sa jupe puis défit son soutien-gorge.
    
    Mon frère bandait déjà. Il faut dire qu’il démarre au quart de tour dès qu’il voit un bout de nichon. Calé dans le fauteuil, jambes écartées, il ne dissimulait pas son érection. Rahdan en revanche, essayait de dissimuler la sienne de ses mains, sans que je susse si c’est la poitrine de ma mère ou les queues qui se tendaient qui provoquaient cet émoi, car les deux gars en slip ne pouvaient pas non plus voiler leur belle excitation.
    
    — Voilà, je suis prête ! Qui distribue ?
    
    Les types étaient peu attentifs aux cartes. Gabin louchait ostensiblement sur les nibards (t’en as déjà vu d’aussi beaux ? C’est gros, c’est lourd, c’est rond, c’est ferme ! hésitai-je à lui dire) tandis que Baptiste lançait des regards furtifs dans le genre du gars qui ne veut pas mâter, mais qui mâte quand même. Plus concentré que Gabin, il eut une mauvaise main et ...
    ... perdit.
    
    — A poil, à poil à poil, criâmes-nous tous ensemble.
    
    — Non, non c’est gênant...
    
    — A poil, à poil, dégonflé.
    
    Mais il s’était rassis et ne voulait rien savoir.
    
    — Non, non, c’est bon j’ai perdu...
    
    — Allez, montre nous ta bite ! lança Gabin.
    
    — Ma bite, c’est bon, vous l’avez déjà tous vu dans les vestiaires ! argumenta-t-il.
    
    — Pas moi, dis-je en faisant écho aux paroles de maman qui ajouta : "Tu sais, j’en ai vu d’autres... mais pas encore la tienne... allons, il faut être beau joueur, moi, je t’ai montré mes seins et tu vas voir ma chatte si je perds..." !
    
    Comme il ne bougeait pas, Gabin et mon frère le saisirent par les bras pour le forcer à se lever.
    
    — C’est bon, c’est bon ! J’le fais, reprit-il d’assez mauvaises grâces.
    
    Il porta les mains à son slip et eut encore un moment d’hésitation, moment suffisant pour que maman se rapproche, s’agenouille et lance :
    
    — Besoin d’aide ?
    
    Elle était juste devant lui. Il se figea. Elle baissa le calbut et la verge se déploya, superbe.
    
    — Ben, t’avais pas à avoir honte ! Elle est splendide ta bite.
    
    Puis, la prenant en main, malgré un mouvement de recul de Baptiste.
    
    — Et bien dure en plus. C’est moi qui te fais cet effet-là ?
    
    Puis elle avala le chibre !
    
    Baptiste nous regarda, effaré, la bouche ouverte comme un poisson hors de l’eau, puis il ouvrit la mâchoire en grand sous l’effet des caresses buccales avant de fermer les yeux et de s’abandonner.
    
    Gilles poussa Gabin en avant. Ce ...
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