1. Une famille sexuellement débridée (9)


    Datte: 22/09/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... consigne de me dévêtir un peu pour rendre la partie plus égale. Rahdan, le beur très poilu, était avec deux fringues (les chaussettes comptant une seule fois) et les autres aussi puisque, sous son pantalon, Baptiste était en boxer... Seul mon frère portait encore trois pièces de vêtements.
    
    Il fut convenu que je me mettrai comme lui. Je gardai donc chaussettes, pantalon et jockstrap.
    
    Je ne suis pas très bon joueur et je perdis aussitôt mon pantalon que je choisis d’enlever pour m’exhiber un peu.
    
    — Putain, c’est quoi ton truc là ? On te voit le cul ! commenta Baptiste.
    
    — Ouais, ça fait limite PD, ajouta Gabin.
    
    Je me tournai alors vers lui pour lui montrer mes fesses en les écartant bien et en le provoquant.
    
    — Si tu pers, tu me bouffes le cul !
    
    — Même pas en rêve. T’as qu’à te changer en meuf pour que je te bouffe le cul !
    
    Cependant, je crus percevoir un trouble chez Rahdan. Comme il perdit la manche suivante et qu’il dût enlever son marcel, les mouvements de son corps trahirent la bosse de son slip qu’il essayait de dissimuler. Il était en train de bander.
    
    — Rahdan, tu bandes ? C’est le cul de mon frangin qui te fait cet effet-là ?
    
    Eclat de rire général.
    
    — Tu m’as jamais vu quand je bande... c’est plus gros que ça ! Amène-moi ta sœur... tu vas voir ce que c’est que bander, dit-il pour se défendre. Mais je sentis bien la faille.
    
    La partie continua. Je me retrouvai à poil le premier.
    
    — T’as perdu !
    
    — Ouais, mais je reste jusqu’à la fin. ...
    ... Le vainqueur c’est celui qui est le dernier à poil ?
    
    — Oui.
    
    — A qui le tour les gars ?
    
    Rahdan fut le suivant. A le voir, je compris les critères de sélection de mon frère. Il avait pris des copains sûrs et dont la nudité aperçue au vestiaire, comme sans doute quelques plans branle, l’avaient rassuré sur leurs potentialités. Rahdan avait un joli gros morceau qui bandait mou.
    
    Le suivant fut mon frangin. La partie se jouerait donc entre Gabin et Baptiste chacun doté d’un beau gros pacson bien lourd dans le slip. Tout ce petit monde s’excitait et se promettait un concours de bites.
    
    C’était sans compter sur ma mère qui fit une entrée fracassante à ce moment-là, alertée par mon aîné.
    
    S’il était évident que les mecs avaient l’habitude de se voir à poil tant ils étaient à l’aise entre eux, le comportement changea radicalement quand ils virent la femme.
    
    Rahdan posa ses mains sur son sexe comme les deux autres bien qu’ils fussent en slip.
    
    Maman les salua en restant debout et en leur tendant la main, ce qui les obligea à se lever et, pour Rahdan, à se découvrir partiellement.
    
    — Dites donc, on s’amuse bien ici hein ?
    
    — Oui... mais on avait fini là justement, répliqua vivement Baptiste.
    
    Nus comme des vers, Gilles et moi, nous protestâmes.
    
    — Ah, non, on continue. On veut voir qui est le gagnant !
    
    Et mon frère ajouta.
    
    — Tu joues maman ? Faut sauver l’honneur de la famille.
    
    — Il ne reste que deux compétiteurs... C’est OK.
    
    — Ah ben non, c’est pas ...
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