L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. (33)
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
Erotique,
Auteur: quidam77, Source: Xstory
... quelques minutes de la villa et Alain proposa d’y trouver un petit restau pour y dîner.
Le caddy rempli, ils passèrent devant une petite boutique de fringue, Alain indiqua à Lise de regarder si quelques vêtements l’intéressaient pendant qu’il irait mettre les courses dans le coffre de la voiture.
Quelques minutes plus tard, il la retrouva alors qu’elle regardait une petite robe légère.
— Tu serais magnifique avec !
Lise, qui ne l’avait pas vu venir, sursauta.
— Je t’ai fait peur ?
— Je ne t’avais pas vu !
— Je suis certain qu’elle t’ira à ravir, va l’essayer.
— Non, non, je le regardais comme ça... Je n’avais pas l’intention...
— Cela n’engage à rien, va ! La cabine est là-bas !
Alors qu’elle était dans la cabine d’essayage, il espéra que le rideau s’écarte un peu pour la voir en sous-vêtement, mais cela ne se produisit pas.
Quand elle écarta le rideau, il fut ébloui. La robe était légère et fine, elle moulait à la perfection ses formes et il imaginait sans problème ce qu’il pourrait voir par transparence grâce au soleil qui savait si bien se faire « coquin » pour montrer au travers des trop fins tissus, le corps des femmes.
Les bretelles étaient de l’épaisseur d’une ficelle, Alain pouvait voir qu’elle avait gardé son soutien-gorge.
— Je suis certain que ta poitrine, à ton âge, n’a pas besoin de soutien...
Lise rougit sans répondre, Alain ne poussa pas le vice jusqu’à lui demander de l’enlever pour l’essayage.
— Elle te va à ...
... merveille.
— Oui, mais elle est un peu... Courte...
— Et alors, tu as de belles jambes...
— Et le haut est un peu... Échancré.
— Avec une poitrine aussi ferme que la tienne, ce serait sacrilège de ne pas la mettre à l’honneur.
Lise, de plus en plus rouge, ne répondit rien. Elle aurait pu lui rétorquer qu’il n’avait jamais vu sa poitrine libre et ne savait donc pas si ses seins étaient fermes ou non, mais elle n’y pensa pas, et même si elle était un peu « gênée » par les propos d’Alain, elle était aussi fière de ses compliments.
— Bon, décidé, on la prend.
— Mais...
— Pas de « mais », je te l’offre.
Quand elle sortit de la cabine, il lui prit la robe des mains et lui proposa de fouiller le magasin pour y dénicher d’autres vêtements qui pourraient lui plaire, mais elle refusa.
— On ne peut pas laisser les marchandises dans le coffre.
— La voiture est à l’ombre et les températures baissent...
Il répondit pour la forme, mais n’insista pas vraiment. Ils se dirigèrent vers l’unique restaurant du centre commercial et s’installèrent à une des tables.
Le repas se déroula tranquillement, Alain se sentait fier en si jeune et si belle compagnie, Lise était contente d’être avec son oncle, il était sympa, même si quelquefois elle se demandait si les regards qu’il appuyait sur elle étaient compatibles avec son statut familial.
Sur le chemin du retour, Alain ne pouvait s’empêcher d’imaginer Lise venant le rejoindre dans son lit, elle y serait nue ou en ...