Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ". (7)
Datte: 20/09/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... déshabiller. Après avoir soufflé quelque chose à l’oreille du “cunilingueur”, il s’allongea, le sexe érigé comme un mât de cocagne sur le matelas, à côté de la femme offerte. Les deux autres saisirent Corinne, la placèrent sur les genoux, la tête au niveau de la bite du type allongé, qui fut promptement “avalée” par la bouche gourmande et lubrique de celle-ci. Alors l’un des autres “prépara” l’anus généreux de Corinne en lui masturbant la rondelle. Se servant de la cyprine dont la jeune femme débordait en suffisance, il n’eut aucun mal à faire pénétrer, un, deux puis trois doigts joueurs, dans son trou du cul. Puis il introduisit doucement son gland entre les fesses bien rebondies... pour dilater le conduit étroit qui allait être mis à rude épreuve ! Il ressortit alors...
Corinne, qui n’avait pas eu tant que cela l’occasion de se faire enculer par son chaste mari, éructa des gémissements sauvages et rauques, tandis qu’elle commençait à crier son plaisir.
Son vocabulaire étonna beaucoup son mari...
Rodolphe regardait, comme halluciné, sa femme mise dans une position peu glorieuse, où la servilité le disputait à la vulgarité ! Et quand sa femme s’exprima, alors que l’un de gougnafiers limait le trou du cul de sa chère et tendre, il n’en crut pas ses oreilles :
“ Oh mon Dieu, ouiiii, vas-y, lime-moi le cul avec tes doigts ! Allez-y maintenant, enculez-moi ! Je veux vos grosses bites dans mon petit trou de salope !”
Puis, glissant un regard langoureux et obscène ...
... à son mari :
“ Alors mon chéri, je vais me faire enculer pour la première fois, sous tes yeux ! Ça t’excite ? “
Et, toute à sa grande honte, Rodolphe dut admettre que sa femme lisait dans son âme, comme dans un livre ouvert... et quand ayant été bien “ouverte”, Corinne, soulevée par les deux hommes, fut empalée sur l’obélisque de chair... ce fut un “Hiroshima” verbal et lubrique:
“ Mon Dieu, mon Dieu, c’est trop boooonnn... oui... OUIIIIIII ! Putain comment il me ramone le cul, ce salop ! Tu regardes Rodolphe ?! Tu regardes ?! OH, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Il me fait du bien ! C’est trop bon de se faire enculer ! Rodolphe... Rodoolppphhhe ! C’est ce que tu voulais, hein, salop ! Voir ta femme se faire mettre comme une pute ?! Ah ! Ouiiiii !”
Corinne chevauchait le mec, sa grosse bite dans son cul, comme un Texan, un pur-sang dans un concours de rodéo. Elle l’avait profond et elle adorait ça. Mais la fête ne fut complète que quand le deuxième homme, nu lui aussi, s’approcha de la jeune femme, la fit s’allonger sur le premier homme, lui écarta les cuisses toutes grandes, et d’une brusque poussée, pénétra la chatte de la bourgeoise en chaleur. Le troisième homme, lui, se faisant sucer, comme dans tout bon film porno qui se respecte !
Corinne, la jolie bourgeoise bien comme il faut, était prise en double pénétration ! Et elle en jouissait deux fois plus fort, si c’était possible ! Rodolphe, les yeux exorbités, regardait ce qu’il ne croyait pas possible, hormis dans ...