1. Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ". (7)


    Datte: 20/09/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    Corinne dormait paisiblement dans son lit. Rodolphe regardait sa femme perdue dans le sommeil. Un ange, doublé d’un démon, une femelle lubrique !
    
    Serrant le poing il s’en voulait de sa couardise, de sa cupidité et surtout de la lubricité abjecte de son épouse, ainsi que par effet de miroir, de la sienne.
    
    Repassant le fil des événements, il s’étonnait aussi de sa curiosité morbide et de sa jouissance suspecte, pour tout ce qui était arrivé à sa femme. Il ne se reconnaissait plus, tant il avait pris un plaisir abject et vicieux à accompagner, et savourer le comportement de sa femme, qui s’enfonçait dans les marigots de la perversité !
    
    La cave était miteuse, avec un lit certes propre, mais un peu passé, suivant les standards de confort de Rodolphe. Sans attendre, Corinne s’y allongea, complètement nue, voluptueusement, et saisissant les deux barreaux, elle écarta les jambes, découvrant son sexe enduit de cyprine... elle attendait les assauts des jeunes mâles en rut, de l’autre côté de la porte, dans le couloir.
    
    L’un des jeunes qui attendaient le couple dans la pièce, s’étonna auprès de Mustapha, de l’empressement de la femme à mettre en action ses fantasmes :
    
    “ Eh ben, on peut dire qu’elle en veut celle-là ! Et tu dis que le type est le mari, et qu’il va rester pour regarder tout ça ! Pauvre France !
    
    — Eh oui mon ami, les voies d’Allan sont impénétrables ! Pas comme les orifices de notre nouvelle amie !”
    
    La saillie de Mustapha fit rire tous les hommes ...
    ... présents dans la pièce, sauf un... devinez lequel.
    
    Deux hommes se mirent de chaque côté du lit pour s’assurer que tout se passerait bien, tandis que Mustapha avec deux autres, était devant la porte, qu’ils ouvriraient pour laisser passer les “candidats” au compte-gouttes, pas plus de deux ou trois à la fois, suivant les désirs de la dame. Il indiqua une chaise au pauvre Rodolphe, qui s’y laissa tomber. Il était à trois mètres du lit et pourrait ainsi suivre les ébats (et non pas “ébats”, ça c’est pour une autre histoire...) de sa femme en direct. Oui, Mustapha le caïd de la banlieue, avait bien fait les choses... il n’y aurait pas de dérapage possible. Évidemment tout cela se faisait naturellement et gratuitement, chacun ici présent, faisant preuve de patience et du respect des règles, pour pouvoir profiter des charmes de la belle. Allah distribuait les fruits du Ciel avec générosité aux pauvres pêcheurs qu’étaient les hommes...
    
    Si Rodolphe, englué dans ses fantasmes de candaulisme, de sexe extrême et de culpabilité, avait pu y réfléchir un peu, il aurait goûté le sel de la situation. Ses multiples entreprises dans toute la région, employaient ces pauvres bougres, les payant au lance-pierre, et les exténuant à la tâche. Si bien que beaucoup, fatigués, déprimés et toujours appauvris par des bas salaires, n’avaient pas toujours l’assurance, le courage et le temps nécessaires pour se trouver une femme. Pour combler la solitude de leurs soirées, dans leurs appartements miteux, il ...
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