1. Lisa et les templiers de Los Angeles : Chapitres 1 à 3


    Datte: 19/09/2018, Catégories: f, fh, hplusag, extracon, médical, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, hdomine, Masturbation intermast, pénétratio, fdanus, occasion, Auteur: Datchka Lavani, Source: Revebebe

    ... sexualité pratique, Bill avait toujours un grand nombre de théories.
    
    Monica saisit tout de suite l’intérêt de ces propos. En un an, elle avait appris à connaître son patron, elle l’appréciait. Elle lui vouait quasiment un culte. De plus, il était bel homme et avait une réelle prestance. Elle n’eut donc aucun scrupule à se dire qu’elle devait absolument aider son patron, en bonne secrétaire qu’elle était. Bien sûr, elle était mariée, mais son mari, s’il était doux et attentionné, n’en était pas moins qu’un piètre amant.
    
    Monica était vêtue d’une petite robe noire avec de fines bretelles qui ouvraient l’horizon d’un large décolleté : il laissait voir des promesses agréables. Comme elle avait le sein ferme et haut, elle pouvait très bien se passer de soutien-gorge.
    
    Bien que ce fût l’été, et malgré la chaleur de Los Angeles, elle mettait un point d’honneur à ne jamais venir jambes nues au bureau. Ce jour-là, elle portait de fins bas noirs, tenus par un simple porte-jarretelles de tulle translucide de même couleur : trois arcades noires formées par les jarretelles, entouraient les hanches et le pubis ; derrière, un bandeau noir et étroit laissait les fesses qu’elle avait fermes, bien dégagées. Monica cultivait régulièrement sa silhouette pour la rendre ferme et nerveuse, le muscle dessiné, mais sans excès.
    
    Pendant que Bill était dans son bureau, elle entra dans la salle d’examen attenante. Elle mit en place les appuis-jambes de la table d’examen, en les écartant bien ...
    ... et en les remontant. Elle dégagea ses bras des bretelles, retroussa sa robe pour qu’elle ne forme plus qu’une ceinture autour de sa taille. Elle enleva sa petite culotte noire et se coucha sur la table d’examen. Le papier blanc qui recouvrait cette table, faisait plus encore, ressortir son bronzage intégral. Sa toison pubienne, soigneusement rasée, ne laissait qu’une étroite bande de poils courts, encadrée par l’arcade du porte-jarretelles, sorte de flèche qui indiquait le point de pénétration du mâle.
    
    La manière dont elle avait disposé les appuis-jambes, faisait que son bassin dépassait de quelques centimètres, du bord de la table. En venant de son bureau, Bill ne pourrait avoir qu’une vision de rêve : les jambes largement écartées, habillées de bas noirs, les cuisses fléchies à plus de 90°, les genoux en appui au-delà de l’angle droit, le mettrait directement en face de l’anatomie la plus intime de sa secrétaire dont on pouvait entrevoir la muqueuse rose.
    
    Le porte-jarretelles noir, lui aussi, laissait une mince bande de peau brune et mate sous sa robe sombre, roulée autour de la taille, elle mettait bien en évidence ses seins bronzés et fermes qui pointaient fièrement vers le plafond, les bras légèrement écartés le long du corps et la tête fléchie vers l’arrière et le bas, contribuaient à cette sensation d’offrande vivante, une vestale prête au sacrifice de son corps.
    
    Avant de l’appeler, elle prit soin de s’enduire la vulve et l’anus avec le gel d’examen : ceci ...
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