Pirates!
Datte: 19/09/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... jeune femme était française comme eux. Ainsi elle comprenait ce qu'ils lui disait. Les mots paisibles, prévenant, rassurant de Sylvie l'avait un peu rassurée et calmée.
Vu l'état de ses vêtements, Sylvie lui avait passé un paréo pour un peu la vêtir et ne pas la laisser presque nue.
Que pouvaient ils faire d'autre que de venir en aide à une de leur compatriote en danger, en difficultés??
Dans un premier temps, tant bien que mal, en la soutenant, en la portant presque, mais surtout en la rassurant, ils l'avaient emmenée sur le bateau pour la soigner.
Heureusement celui-ci n'était pas amarré loin.
Sylvie l'avait donc tout naturellement rassurée, réconfortée et surtout soignée.
La jeune femme avait refusée catégoriquement d'aller à la police locale. Elle disait "- Que c'était tous des vendus et des corrompus. - Que de toute façon ils ne retrouveraient jamais ses agresseurs. - Qu'ils ne les chercheraient même pas.".
Jean-Jacques, qui était lui plus pragmatique et plus réaliste, persistait à vouloir aller à la police locale.
A ces simples mots la fille était encore plus terrorisée. Il avait fallu toute la persuasion et toute l'insistance de Sylvie pour qu'il renonce à s'y rendre.
La seule vue de Jean-Jacques suffisait à effrayer et à paniquer la jeune femme.
Normal après de quelle venait de subir... Mais peut-être pas que ...??
Sylvie, elle, s'était rendue compte de tout cela. Elle avait tout simplement renvoyé Jean-Jacques sur le pont du ...
... voilier, en restant seule avec la jeune femme.
Sylvie avait aussi conseillée à Jean-Jacques d'éloigner un peu le bateau du quai et d'aller mouiller un peu au large, puisque le coin ne semblait pas si sur et si sécurisé qu'il n'en paraissait.
Lucide et prudent, Jean-Jacques avait un peu éloigné le voilier. Il valait mieux se montrer prudent. Les agresseurs ou d'autres, risquaient de revenir en pleine nuit et de les surprendre dans leur sommeil.
En plus, ils étaient pratiquement les seuls et uniques plaisanciers.
Prendre la mer en pleine nuit n'était pas très prudent. Mais s'éloigner du rivage et du quai oui.
Pour rassurer sa femme, Jean-Jacques avait décidé qu' il passerait la nuit sur le pont du voilier à faire le guet et à monter la garde. Il valait mieux être vigilant et être prudent.
Il laisserai ainsi Sylvie s'occuper de la jeune femme, pour la calmer, pour la rassurer et surtout pour la soigner.
Sylvie avait pris tout son temps pour calmer la fille, pour la rassurer et pour l'apprivoiser.
Elle l'avait nettoyée de toutes les traces blanchâtres sur son corps. Elle avait passé des crèmes et des pommades apaisantes sur son corps, sur les marques des coups, des griffures et des morsures.
Très délicatement aussi et avec des mots rassurants, elle l'avait nettoyé et elle lui avait même faite sa toilette intime...
La fille se laissait faire très docilement. Les mains de Sylvie étaient douces et apaisantes. Ses paroles étaient aussi réconfortantes et ...