1. La graine est plantée : Marc


    Datte: 18/09/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, vacances, piscine, boitenuit, vengeance, jalousie, Oral pénétratio, échange, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... mari et amant, doit vouloir autre chose. Sa belle, bien lutinée, léchée et manifestement excitée, quitte sa position sur la margelle. Elle redescend dans l’eau. C’est une zone où l’on a pied et je la vois maintenant me faire face, en appui. Je l’imagine dans l’eau, cambrée, offrant ses reins à son mari comme Maryse l’avait fait avec moi. Je l’imagine, lui, guidant son mandrin vers une destination qu’il a soigneusement préparée… poussant d’un coup de reins…
    
    Oui, mon imagination et mon vécu se confortent à la réalité de ce que je vois, du moins partiellement. Si le visage de Laeticia me paraît maintenant enveloppé d’une lueur annonçant un soleil levant, celui de son mari est dans l’ombre, tête manifestement penchée vers le bas, cherchant, comme tout homme, à voir sa queue s’enfoncer dans la fente humide. Elle gémit, et c’est excitant de l’entendre. Je sens ma verge s’émouvoir de ce spectacle, totalement libre de se déployer car, nu comme un ver, ayant cherché la fraîcheur de la nuit. Elle gémit et souffle des mots que mon esprit voyeur et concentré imagine comme « Oui… oui… encore…c’est bon… » Son plaisir illumine son visage! Le blanc de ses yeux montre qu’elle a les yeux ouverts. Je n’ose bouger car je suis juste dans son axe.
    
    Voilà, elle ferme les yeux, emportée par son plaisir. L’homme la travaille avec force. Sa bouche est ouverte comme pour laisser passer le souffle de la possession. Cette bouche m’attire. Des lèvres que je sais pulpeuses et maquillées de rouge ...
    ... carmin. Si je… quel idiot je fais ! Une pensée ! Une image ! Si je redresse ma verge, l’éloignant de mon pubis, elle doit se retrouver parfaitement… Oui, c’est vrai. Ainsi j’amène le gland juste au niveau de cette bouche qui m’ensorcelle. L’alignement est quasi parfait. Je pourrais presque m’imaginer entre ses lèvres.
    
    Merde, elle ouvre les yeux. Je panique. Elle va me voir. Surtout ne pas bouger. Je suis tout de même assez loin d’elle et le soleil me laisse dans l’ombre alors qu’il doit l’éblouir. Mais, pourtant ! Ses yeux sont fixes comme si elle me voyait. Je crois même découvrir un sourire sur ses lèvres et… Oh, ce bout de langue qui pointe comme s’il… Oui, comme si elle simulait une…
    
    — Ça va, ma chérie ? Il te fait du bien ?
    
    Une voix qui vient de ma droite. La voix de son mari. Elle regarde dans cette direction. L’homme apparaît : c’est bien Luc. Il tient une femme par la taille. Tous les deux sont nus. Mais si son mari est là, qui est dans l’eau et baise la patronne ?
    
    J’ai la présence d’esprit de profiter de cette arrivée pour reculer et en marchant à quatre pattes regagner ma chambre. Maryse dort. Sa respiration est calme. Ce n’est pas comme moi qui respire comme si j’avais couru un marathon. Mais mon cerveau est aussi hyperactif. Il envisage toutes les possibilités, mais une seule peut expliquer ce que je viens de voir : les patrons ont ramené un couple à la maison et se sont échangés. Pendant que l’homme baisait Laeticia, Luc s’envoyait en l’air avec la femme. ...
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