1. La graine est plantée : Marc


    Datte: 18/09/2018, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, couleurs, couplus, cocus, vacances, piscine, boitenuit, vengeance, jalousie, Oral pénétratio, échange, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... été l’excuse ?
    
    Sauf le moment où nous avons dansé. Elle avec Luc et moi avec la femme. De longues minutes nous avons été séparés. Et si l’homme avait fait comme sa femme? S’il avait emmené Maryse dans un coin pour la baiser ? Non, ça je n’y crois pas. Mais il aurait pu la câliner, raconter qu’elle lui plaît, qu’il est libre dans son couple, et se frotter contre elle avec une verge bien tendue. Quelle femme n’aurait pas été séduite – au moins flattée – qu’un homme qui a eu tant de partenaires la trouve belle et désirable au point de bander ? L’idée aurait pu l’effleurer de se laisser séduire, et si elle avait tout de même résisté, me surprendre derrière ce buisson aurait pu, alimenté par l’esprit de vengeance que lui distille l’autre, se donner bonne conscience en concrétisant un fantasme.
    
    Et l’alcool ? En revivant par la pensée cette soirée, si je ne peux pas comptabiliser le nombre de verres descendus, il est certain que ma copine a beaucoup bu. Je vois l’homme la resservir généreusement. Bon, d’accord, elle ne titubait pas, mais je connais d’anciennes copines qui se lâchaient dès le deuxième verre. Alcool désinhibiteur ! Alcool servant d’excuse pour réaliser des fantasmes qu’on n’ose pas avouer !
    
    Que des suppositions. Mais pour moi, maintenant c’est une évidence : cette soirée a été parfaitement organisée par nos employeurs : repas, alcool, danse, séduction à laquelle je ne résiste pas et qui me met en porte-à-faux lorsque, comme par hasard, Luc la conduit vers ...
    ... nous. Et puis de retour chez eux cette comédie censée apporter de la compassion, mais en réalité totalement centrée pour pousser à la jalousie et à la vengeance.
    
    — On peut se rapprocher, maintenant, elles sont bien parties.
    
    Quand on parle du loup, il sort de bois. C’est Luc qui me susurre à l’oreille. Je n’ai pourtant pas l’impression d’avoir été absent, plongé dans mes pensées, et pourtant la scène a changé. Il a raison, elles sont bien parties : j’ai quitté deux femmes qui se câlinaient, et je retrouve deux femelles plus chaudes que la braise. Maryse est en appui contre… non, elle est assise sur la table de jardin avec Laeticia qui la lutine. Les cuisses sont ouvertes, et il n’est pas nécessaire d’avoir suivi pas à pas la progression de la scène pour comprendre ce que Laeticia peut y faire. D’ailleurs ma copine s’allonge, libérant l’espace pour la lécheuse.
    
    Luc avance. Je le suis. Est-ce que Maryse nous voit ? Je ne sais pas, elle semble totalement centrée sur ce que lui fait sa comparse. C’est beau. Deux amoureuses ; enfin, l’une plus active que l’autre, sachant manifestement quoi faire pour donner du plaisir.
    
    Sans réfléchir, Luc et moi sommes passés de part et d’autre de la table. Si Maryse est dans son trip, ses grognements et sa façon de se cambrer parlant pour elle, sa lécheuse nous jette des regards complices. Elle suce, lèche, aspire. Maryse gémit, les yeux fermés, ses mains se caressant les tétons en les tordant comme elle aime tant.
    
    Luc bande. Moi ...
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