Les saveurs de l'Orient
Datte: 18/09/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
inconnu,
vacances,
plage,
pénétratio,
hsodo,
init,
initfh,
hbi,
Auteur: Léa Bicock, Source: Revebebe
... j’ai touché, a glissé entres les fesses que je tenais. La bite énorme a écarté ce cul, s’est introduite profondément en lui. Et plus elle rentrait, et plus je sentais la bite du grand type durcir en moi, à en exploser. J’ai grimpé très vite. Le grand type complètement allongé sur moi, la tête affalée derrière mon épaule, à en grogner, à en baver, m’écrasait. J’étouffais pendant que j’étais baisée par intermédiaire. Une éternité, un instant, je n’ai aucune idée du temps que ça a duré. Des coups sourds, presque sans mouvements mais profonds, larges m’ont irradiée du sexe vers tous mes membres, et l’odeur du sperme et les râles de ces hommes si libres. Et surtout lepam-pam si doux, si fort, et le poids, et encore.
J’ai aimé ça terriblement, je me suis laissée aller, j’ai tout oublié sauf ces bites emboîtées par-dessus moi pour nos plaisirs partagés. Oh que cela devrait durer, comme l’algue dans la mer, toujours dans le mouvement des corps des autres, cette tendre caresse dansante et chaude. J’ai été la première à jouir, j’ai crié en riant, tant j’étais contente de me sentir vivante. Cette décharge d’énergie supplémentaire m’a donné la force de m’activer, mon sexe pompant celui de l’homme et mes mains agrippant ses fesses, augmentant par mes agitations le rythme souple des deux hommes emboîtés.
J’avais déjà joui quand j’ai eu cette chance extrême, tout en les devinant par la vue, de les sentir pleinement jouir sur moi, dans moi, avec moi. Ils ont déployé une telle force que ...
... j’en ai gardé des bleus une bonne semaine, je me suis fait prendre par les épaules, comme si le grand type s’accrochait à moi pour fuir pour mieux rester, et l’autre qui l’enculait s’accrochait à mes cuisses pour aller plus fort et plus loin. Je n’avais jamais vu deux hommes jouir ensemble. Beauté fatale.
Ils se sont écroulés. Moi, j’étais toujours en dessous et commençais à souffrir du poids qui pesait sur moi. Je les ai poussés sur le côté, et ils sont restés un peu allongés en chien de fusil, l’un dans l’autre. Oh assez peu de temps, car le temps que je sois correctement rhabillée, ils n’étaient déjà plus là. Oui, ils ont disparu à jamais, comme ça. Le temps est une drôle de chose quand on voit mal et qu’on se trouve dans un environnement neuf ; tous les sens sont si occupés à flairer, écouter, sentir, goûter, que le temps est multiplié par le présent. J’étais sonnée, épuisée, j’ai pris du temps avant de sortir. Respirer un peu. Laisser mon cœur ralentir.
C’est là que j’ai compris le sens de cette salle de projection. À la sortie du donjon, il est possible de se poser un peu dans un fauteuil, de ne pas parler tout de suite, de rester dans une faible luminosité, fluctuante, en transition vers le monde, à nouveau. Les quelques halètements émis par les acteurs ou les doubleurs, sonnent déjà comme les souvenirs séchés d’une moiteur qui n’est plus croyable. Les images bruyantes et les corps à deux dimensions n’ont pas la saveur brute de la sueur inconnue qui coule sur la ...