Les saveurs de l'Orient
Datte: 18/09/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
inconnu,
vacances,
plage,
pénétratio,
hsodo,
init,
initfh,
hbi,
Auteur: Léa Bicock, Source: Revebebe
... guida le bout de son sexe, et le posa là, à l’entrée, le gros gland chaud sur le souple entrelacs de chairs. La visqueuse, la divine cyprine faisait glousser le plastique, l’emportait. Le sexe de l’homme avançait tout calmement, instant après instant, espace infini après espace infini. Elle sentit sa forme pleine s’enfoncer.
Elle ne bougeait pas, mais déjà elle en voulait plus. Tous ses organes, de son sexe jusqu’à ses poumons, et même son cerveau, palpitaient. Elle respirait plus fort, et mordait sa lèvre inférieure. Le sexe du grand homme continuait de rentrer, de la pénétrer. Hourra !
Leurs corps invisibles et leurs souffles inaudibles, là-bas dans une pénombre connue d’eux seuls. Et les phares de rouler sur le sable, et les vagues de lécher la petite plage.
Elle se cambra un rien plus en arrière, un rien. Mais ce mouvement appela, comme si elle criait, le sexe dressé : progresse, fraye, approche, viens plus près, plus loin, plus profond, oui viens là où c’est si sensible pour moi et si chaud pour toi.
Il était parvenu tout dans le fond, et là tout dans le fond il tapait doucement. Et en même temps qu’elle le sentait dans ce fond innommable, non identifiable,… où était-ce, si ce n’était pas le centre d’elle-même ? En même temps oui, elle le sentit partout.
Elle se mit à couler, ses jambes ne tenaient plus. Il passa son bras autour de sa poitrine pour la maintenir sous les aisselles. Il la tenait pendant qu’il continuait à la baiser, et ainsi jusqu’à ce ...
... qu’elle jouisse.
Il la laissa choir à terre. Le vent la décoiffait et repoussait sa robe, découvrant presque son sexe tout gonflé. Elle dut avaler de travers et toussa un peu. Il l’aida alors à se relever et lui donna sa culotte, qu’elle remit lentement. Lui qui était reboutonné, la regardait faire, toute déboussolée. Après avoir rattaché son ruban, elle épousseta le sable qu’elle avait sur les jambes. Sa respiration était encore courte. Après un temps, elle fit une sorte de sourire, mais pas vraiment, c’était dans son regard.
Elle se retourna et marcha sur la plage, prit l’escalier de bois salé et puis le trottoir. Ils marchèrent, côte à côte, sans rien essayer de se dire, et ainsi jusqu’à l’hôtel. Elle s’éloigna et ne se retourna qu’une fois rentrée, loin derrière les vitres.
Lui, prit une cigarette, l’alluma, là à quelques mètres de l’hôtel et s’en alla.
Ce que j’avais aimé cette histoire quand elle me l’avait racontée. Qu’est-ce que c’est beau les êtres humains quand ils et elles le veulent bien. Quelle confiance elle avait eue, malgré tant d’inexpérience. S’en étaient suivies des années d’un appétit sexuel faste, mais qui maintenant était terminé. Sa vie sexuelle n’existe plus, car elle ne vit plus que pour son enfant.
Bref.
Je suis partie à Istanbul.
J’ai marché plusieurs jours, seule dans la ville. Les hommes étaient beaux, sans doute oui, et les femmes aussi, les yeux foudroyants de caractère. Je ne me sentais pas à la hauteur si j’y pensais, et puis, ...