1. La première conquête masculine de Marie


    Datte: 17/09/2018, Catégories: fh, jeunes, sport, école, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, Auteur: Maelys, Source: Revebebe 

    ... robe… pas plus haut : juste la naissance de tes fesses… oui comme ça. Mets-toi au sol. Très bien. Écarte les jambes ; relève ta robe… juste comme ça. Rabats ta robe entre les cuisses et dégage ton bassin… magnifique ! Relâche un peu la ceinture de ta robe… Je voudrais une échancrure laissant voir la moitié de tes seins et ton nombril. Un peu moins, on voit tes tétons… Comme ça, oui. Tu es belle…
— Dis-moi, Antoine, tu bandes ?
— Jamais quand je prends des photos… Je t’assure : les poses, la lumière et la vitesse de déclenchement suffisent à me concentrer.
— Et moi, je parie que je peux te faire bander…
— En prenant les poses que je te demande ?
— Non ; laisse-moi choisir et prends les clichés.
— D’accord.

Assise, j’écarte les pans de ma robe. Mes seins apparaissent à la vue d’Antoine.

— Oui, magnifique… Ma première séance de photos érotiques… et avec une beauté. Ah, tu rougis, Marie ! Prends-les dans tes mains… oui, ne bouge plus ! Tu as la chair de poule… Gros plan sur tes tétons dressés… Titille-les. Tes aréoles ont de jolies granulosités… Superbe. De profil… bien dressés…
— Alors, tu bandes ?
— Un petit peu…

J’écarte les cuisses et relève ma robe.

— Tu es sûre que tu veux que je continue ?
— Oui, ne t’arrête pas.
— Offerte, oui… Tes mains au sol… Cambre. Gros plan sur ta toison. J’entrevois tes grandes lèvres… oui, comme ça, allongée. Écarte un peu les poils. Magnifiques, tes petites lèvres roses qui dépassent ; elles se déploient, on dirait les ...
    ... ailes d’un papillon… oui, ton doigt ; magnifique ! Tu es belle !
— Et là, tu bandes ?
— Ça vient bien…
— Et comme ça, à quatre pattes ?
— Oui, tes cuisses rondes sont magnifiques… Tu es merveilleuse, quand tu te touches ; continue… Là, je bande comme hier soir. Toutes les femmes sont excitantes dans cette position ; mais toi, tu es irrésistible.
— Alors laisse tomber l’appareil, Antoine… et fais-moi l’amour.

Il me rejoint, me relève et m’embrasse fougueusement. Je veux retirer ma robe, mais il m’en empêche.

— Laisse-moi te redécouvrir comme ferait l’appareil photo.

Ses mains découvrent et caressent mes seins durcis. Tandis qu’il me prend en bouche, une main vient s’immiscer entre mes cuisses et se glisse dans ma fente.

— Tu es chaude comme la braise…

Il s’accroupit et passe sous ma robe. Je sens sa langue lécher mes cuisses. Tandis qu’il me prend les fesses en main, sa langue s’insinue dans ma fente. Je détache la ceinture pour mieux voir la tête d’Antoine me goûter, m’aspirer. C’est délicieux.

Je le relève à mon tour, détache son pantalon, plonge la main dans son boxer et libère sa verge dressée de désir. Je le branle un peu, m’accroupis et lui lèche les testicules.

Je l’entends gémir et respirer fort. Il retire ma tête de son gland que je suce, me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Il part dans la salle de bain et en revient nu, équipé d’un préservatif.

Nous nous jetons sur le lit et faisons plus amplement connaissance de nos mains et de ...
«12...4567»