La première conquête masculine de Marie - Histoires de Sexe

La première conquête masculine de Marie

... dire que j’ai aimé la manière dont tu photographies les femmes. Tu ne montres rien de leur nudité, et pourtant tu arrives à montrer combien elles sont belles. Tu penses que je suis assez jolie pour te servir de modèle ?
— Je serais ravi de pouvoir te photographier. Tu es très photogénique, j’en suis sûr. Et puis tu m’inspires. J’aime ta personnalité et ton corps me plaît beaucoup. Je crois que je n’ai guère besoin de te le prouver.

Il éclate d’un rire joyeux auquel je réponds. Il naît une complicité propice au développement de notre relation.

Nous rentrons chacun chez nous après une bise, uniquement sur les joues, mais un peu plus appuyée que celles que nous avions l’habitude de nous faire habituellement. Une douche commune, ça rapproche, c’est bien connu.

Arrivée chez moi et après avoir dîné, je m’empare du joujou offert par mon mentor, ferme les yeux et me pénètre profondément sans utiliser le mode vibrant. Mon puissant étalon a pris les traits d’Antoine. Il me possède complètement et cela me rend immensément heureuse.

—ooOoo—

Le lendemain, c’est une belle journée tiède d’automne ensoleillée qui s’annonce. Arrivée en cours, je m’assieds à côté d’Antoine dans l’amphithéâtre. J’ai mis une robe à fleurs de couleur parme, d’un tissu fin qui s’attache devant à l’aide d’une ceinture noire. Elle tombe juste au-dessus du genou. Je suis sexy. Il semble si sérieux en cours… Lors de l’intercours, devant la machine à café, nous discutons comme deux vieux amis.

— ...

... Ça tient toujours, ton envie de poser pour moi ?
— Oui, bien sûr : cela me plairait beaucoup. Je ne l’ai jamais fait.
— On finit à 4 heures, ce soir. On a une belle lumière naturelle aujourd’hui. Une lumière chaude ; c’est important. Les projecteurs compléteront. Ça te dit ?
— Oui, mais il faudra que je passe chez moi pour prendre des vêtements.
— Non : ta robe est charmante et elle prend bien tes courbes ; ce sera très bien. Tes sous-vêtements sont blancs. Ils s’harmonisent bien avec la couleur de fond de ta robe. Je n’aurais pas pu mieux te conseiller.
— Merci d’avoir remarqué mes efforts. Ça change du jean, n’est-ce pas ?
— Oui. Tu es vraiment très mignonne dans cette tenue.

Je rougis légèrement. Les cours se déroulent sans encombre. Je note cependant des regards de bon nombre de garçons qui semblent apprécier ma tenue et m’apporter un intérêt inconnu jusque-là. Sans doute l’effet du changement de tenue. Mais peut-être pas seulement. Un changement d’attitude de ma part, sans doute.

À 16 heures, nous repartons ensemble vers le domicile d’Antoine que je vais découvrir. Il habite dans un petit immeuble de deux étages, assez moderne. Nous entrons dans l’appartement, meublé de manière sobre. C’est très propre. Antoine est vraiment un jeune homme autonome qui sait gérer sa vie. Cela se voit, cela se sent.

— Installe-toi. Veux-tu un café, un thé ?
— Un thé, je veux bien.

Il me fait chauffer de l’eau et revient avec une collection de thés ; j’en choisis un au ...