1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (2)


    Datte: 17/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... l’accès. Je le prends par la main et je rentre. Il est obligé de me suivre. L’ambiance est glauque. Cela sent la clope froide. Le mec qui est derrière le comptoir, un type la cinquantaine bien tassée, ne nous calcule même pas. Je sors une clope et l’allume. Olivier ne fume pas. On navigue dans les rayons des "DVD". De lesbiennes à SM, en passant à la Zoophilie, il y en a pour tous les goûts. Vient ensuite le rayon lingerie, rien de bien attirant et de piètre qualité. On passe au rayon sex-toys. C’est un peu mieux. Le rayon SM est le plus fourni. Des tenues en latex, en simili cuir, en résille. Cela m’échauffe les sens. Olivier bloque devant un...maillot de bain. Si je m’attendais à cela, ici, mais pas dans cet endroit; mais si; c’est possible, la preuve. Olivier en prend deux. Un bleu et un jaune fluo.
    
    — Heum-heum, y a-t-il une cabine d’essayage ? demande Olive.
    
    Le vieux ne relève même pas sa gueule de con et nous indique une minuscule cabine sans rideau, bien évidemment. J’écrase ma clope à même le sol et entre. Je dépose mon sac à main sur une planche en bois qui sert de banc et me déshabille. Olivier me dévore des yeux. Je passe, du moins j’essaie le bleu et demande à Olivier de me nouer les ficelles. Il sert pour me faire remonter ma grosse poitrine. Le bas est minimaliste. Il se résume à un triangle avec une petite bande qui me rentre entre les fesses.
    
    — Il te va très bien, me dit-il, on le prend.
    
    Je passe ensuite le jaune, pareil au bleu pour le haut. Le bas ...
    ... est une espèce de short fendu sur mes deux trous, cachés par un volant noir.
    
    — Allez, je te prends les deux. On passe en caisse.
    
    Une fois dehors, on prend une bouffée d’air pur. On rigole. On rentre chez moi.
    
    Je me mets nue et sors sur mon balcon qui est plus grand que mon salon. L’absence de vis-à-vis me permet de bronzer à poil. Je demande à Olivier de prendre deux Cocas.
    
    Il revient, me donne une canette et s’assoit sur la seule chaise d’extérieur. Je m’installe sur mon petit matelas en mousse. Il me regarde avec envie, le petit coquin. Il bande.
    
    — Tu as encore envie ?
    
    — Tu me rends fou. Tes rondeurs m’excitent. Tes énormes tétines, tes fesses sont un ravissement à mes yeux.
    
    — Humm, c’est gentil.
    
    — Tu aimes l’exhibition ?
    
    — Euh, c’est-à-dire.
    
    — Les plages naturistes.
    
    — Non, j’y ai pensé, mais jamais osé.
    
    — Prépare-toi et prends une serviette. Je t’attends en bas dans cinq minutes.
    
    Pas le temps de lui répondre, il est parti. Résigné, je prends mon sac de plage qui n’a jamais servi, une serviette. J’enfile un tee-shirt difforme, une microjupe noire et des claquettes. Je descends la boule au ventre. Il m’attend, garé près de ma porte. C’est une Citroën "LNA" hors d’âge. Je rigole en forçant pour ouvrir la porte.
    
    Il démarre. Ce n’est pas un foudre de guerre, mais elle a le mérite de nous amener à destination. La plage de la Mitre, pré des plages plus conventionnelles du Mourillon. Le lieu est bien connu des couples en manque de piment. ...