1. Annie, nympho et je ne me soigne pas. (2)


    Datte: 17/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... lisse qui palpite. Je lui malaxe ses fesses.
    
    — Ô, Annie, tu es la reine des salopes.
    
    Je force l’entrée de l’entrée des artistes. Elle s’ouvre.
    
    — HAN, c’est bon.
    
    Je le retourne, j’ai sa bite à la bonne hauteur, je la lui lèche en la recouvrant de salive.
    
    — Ô, putain, je rêve...
    
    Je lui gobe les couilles une à une, elles sont bien dures, bien pleines. Je souris intérieurement. Je mets mes doigts en anneau à la base de son sexe qui gonfle encore et se gorge de sang. Son gland devient rouge cramoisi. Je lèche la petite perle qui sort de son méat. Une autre pointe son nez. Je l’aspire, creuse les joues. Je joue avec son frein. J’ai envie d’être salope, non, pas sa salope, mais la salope. Je le laisse là, la queue à l’air, et je cours en direction de l’ascenseur. Il arrive en courant, mais trop tard.
    
    Une fois chez moi, je reprends mon souffle. J’ouvre mon petit canapé, lis, y dépose une grande serviette. J’entends l’ascenseur redescendre. Je me mets nue et l’attends en levrette, cul bien relevé, seins et ventre pendants. J’écarte les fesses. J’ai laissé la porte grande ouverte. Toute personne qui passerait dans le couloir verrait un cul énorme, une chatte dégoulinante et un anus palpitant. Il est là, derrière moi. Il enlève son short, ne prend même pas le temps de refermer et me pénètre sans autre forme de procès, brusquement, bestialement, à la hussarde. J’aime et le lui fais comprendre.
    
    — Ouch, vas-y, baise-moi comme la pute que je suis.
    
    — Han, ...
    ... han...Grosse pute, dit-il en me claquant sévèrement les fesses.
    
    — OH, OUI, PLUS FORT.
    
    Il y va à fond. Enfin une vraie queue. Je sens sa sueur couler dans mon dos. J’y passe une main pour en récupérer et je m’en badigeonne mon visage.
    
    — Sale truie, tu veux mon jus, viens le chercher...
    
    Il n’a pas fini sa phrase que je me retrouve face à lui, en train de le masturber. Je le regarde et sors ma langue. Je me branle comme une folle. Il éjacule sur mon visage dans ma bouche. Il est intarissable. Je suis obligé d’avaler plusieurs fois. Enfin, il a fini et s’affale sur mon fauteuil. Je récupère son sperme qui a giclé un peu partout et je suce consciencieusement mes doigts, un à un. Il me regarde ahuri. Je vais refermer la porte.
    
    — Rentre chez toi, prends une bonne douche. Je passe te chercher.
    
    Encore hébété par notre partie de cul, il sort à poil dans le couloir. Je suis morte de rire.
    
    Moins d’une demi-heure plus tard, je toque à sa porte. Il a fait un effort vestimentaire : pantacourt, et un joli tee-shirt de surfeur. Il est plutôt cool et mignon. Moi, j’ai mis une minijupe rouge et un chemisier que j’ai sagement laissé libre. Seuls, les boutons du haut sont ouverts. Il peut voir mon soutien-gorge push-up par mon décolleté. On passe par le "MC DO". Eh oui ! La baise, cela creuse. On s’assoit dans un coin isolé. On parle de tous et de rien. On rigole, on se sourit. Je suis bien.
    
    Au sortir du "restaurant", on passe devant un sex-shop minable. Un gros rideau en protège ...