1. Double exemplaire


    Datte: 04/02/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, facial, pénétratio, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe sm, fouetfesse, portrait, policier, Auteur: Resonance, Source: Revebebe

    ... aime les hommes de pouvoir, expérimentés, autoritaires, et avec un uniforme, c’est encore mieux… N’avez-vous pas remarqué son attitude quand elle est sortie du bureau du capitaine hier ? Je suis sûre que sa petite culotte était trempée.
    
    Marc resta bouche bée. La veille, il avait attribué le trouble visible de Marie-Claire à ses difficiles aveux – mais avaient-ils été vraiment si difficiles ? Mathilde avait vu tout autre chose. Sa féroce hostilité envers leur témoin prenait aussi un jour nouveau, à la lumière de son propre comportement envers le capitaine, composé complexe d’admiration, de rébellion et d’obéissance plus ou moins réticente. Leur relation avait un côté filial, conflits compris, et une chose était sûre, aucune fille ne verrait d’un bon œil une bombe sexuelle d’à peu près son âge tourner autour de son père.
    
    Rousseau avait-il une raison additionnelle de protéger son témoin ? L’huis clos dans le bureau avait dû être plutôt chaud, du fait de la confession de Marie-Claire. Marc soupçonnait fort que la version écrite avait été éludée au strict minimum, partie volontairement, partie du fait de la qualité d’expression écrite stéréotypée du capitaine. Par contre, celui-ci avait trente ans d’expérience des interrogatoires et il était un très bon interprète du langage corporel, des émotions et des non-dits. Si Marie-Claire avait été sexuellement sensible à son pouvoir, cela n’avait certainement pas dû lui échapper. Y avait-il été sensible en retour ?
    
    Marc ne ...
    ... put s’empêcher de sourire en imaginant le capitaine en uniforme, tenant un fouet… Marie-Claire nue, à ses pieds… Un rôle de plus pour le capitaine Rousseau, qui les aimait tant.
    
    Mathilde, elle, ne souriait pas du tout.
    
    °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
    
    Jeudi, 12 h
    
    L’unité était regroupée dans une gendarmerie abandonnée par ses précédents occupants : lors d’une réorganisation récente, l’urbanisation du canton avait conduit au transfert du maintien de l’ordre à la police judiciaire. Marc avait hérité comme bureau du lieu le plus discret – et le plus sinistre – l’ancienne salle de garde à vue, maintenant surnommé «Le donjon de Marc ». Une partie de sa responsabilité était l’encadrement technique et la formation des adjoints, ou plus exactement des adjointes, l’équipe actuelle de trois étant entièrement féminine. Celles-ci se partageaient, en principe, le bureau voisin – surnommé par certains, mal, intentionnés, «Le harem de Marc » qui, lui, désignait le lieu comme «Chez les princesses mages ». Afin de faciliter le passage de connaissances, et de garantir une équité entre les trois, il avait pris l’habitude de partager son bureau avec celle qui était d’astreinte pour la semaine – une des trois l’était toujours.
    
    Avec son habituelle autorité, très sèche, Mathilde informa Fanny Vandamme, l’adjointe d’astreinte, de regagner le bureau voisin pour un temps indéterminé. Par derrière, Marc fit une mimique voulant dire «désolé » à Fanny, mais en sortant celle-ci répondit par une autre, ...
«12...212223...30»