Des petits jeux réciproques - Histoires de Sexe

Des petits jeux réciproques

... féminins fermée derrière eux, Eva et son nouvel amant s’embrassèrent avec rage. Des mains d’homme se mirent à voyager sur ses fesses, ses seins et sa vulve enflammée. Sans interrompre leur élan bestial, elle entraîna le mâle dans une cabine de vestiaire, attrapa le membre vigoureux du sud-américain et le branla. Elle sentit le bas de son ensemble disparaître en même temps que son string, et une main chaude caresser ses lèvres intimes. Ni l’un ni l’autre n’avait peur d’une quelconque odeur de transpiration tant les exercices physiques avaient été courts : l’homme n’était arrivé au club que quelques minutes avant Eva et Corinne ; les deux amants avaient vite interrompu leur programme pour assouvir leurs pulsions. Eva était maintenant en train de sucer la bite bien dure pendant qu’il s’occupait de ses nichons fermes. Les mains expertes titillaient ses petits mamelons durcis et provoquaient ainsi des frissons dans tout le corps de la demoiselle.

— J’en peux plus. Prends-moi tout de suite par derrière !

Le message était clair. Pendant qu’Eva enlevait définitivement le haut de sa tenue et offrait sa croupe, le type enfila rapidement la capote qu’il avait ôtée de la poche de son short. Il attrapa les hanches d’Eva et enfonça son membre en elle. Une respiration profonde précéda les premiers gémissements. Il savait ainsi que la jeune biche appréciait ce qu’il lui offrait. De son côté, le frottement de son pénis entier dans le vagin d’Eva et la vue de son dos ferme et cambré le ...

... mettaient dans un état de bien-être qui ne demandait qu’à s’intensifier. Elle fit un effort de contraction au niveau de son vagin. « Si elle fait ça, c’est qu’elle se sent jouir et qu’elle ne compte pas y passer l’heure », se dit-il. Il accéléra le mouvement et les gémissements devinrent des cris graves. Elle se dit qu’il était décidément doué pour capter les messages : elle ferma les yeux pour se concentrer sur la jouissance qui montait en elle. Il augmenta le rythme. Elle mordit le premier vêtement qu’elle trouva. Il ferma les yeux. Elle cria. Il éjacula.

De longues secondes s’écoulèrent avant que les amants n’ouvrent à nouveaux les yeux, car ils voulaient profiter de cet orgasme si vite arrivé mais si intense. Eva s’avança ensuite de quelques centimètres pour retirer le sexe qui était toujours en elle. Elle se retourna et embrassa son amant dans le cou.

— Je veux toujours connaître le prénom d’un bon amant. Je crois qu’on a oublié les présentations…

Ses lèvres bougeant contre le cou du latino donnèrent à ce dernier une sensation agréable.

— Esteban. Et toi ?
— Eva. Et dans quel pays forme-t-on des baiseurs de ta trempe ?

Sa nationalité. Il ne voulait pas dévoiler l’authentique et privilégia un état au-dessus de tout soupçon.

— En Argentine. Ce qu’on fait le mieux, c’est le foot et le sexe, répondit-il en caressant le dos et les fesses d’Eva.
— Je savais pour le premier. Mais tu as raison sur tout.

Désormais, une bonne douche s’imposait pour tous les ...