Chantal (7)
Datte: 16/09/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lerelieur, Source: Xstory
... vision les sexes des trois hommes, et je me sentais prête à recommencer.
Mère Cécile avait bien raison, il y avait bien plus d’opportunités au couvent que dans un couple, bien que je n’use pas de points de comparaison.
Mais au sein du couvent, pas d’inhibition, les rapports ne sont que d’ordre sexuel.
Et malgré une douleur au ventre, je me sentais prête à recommencer. Après l’office, voici l’heure du repas, je me retrouve à table entre le vicaire et le curé qui n’ont de cesse de me toucher sous la table, heureusement qu’elle est recouverte d’une nappe, autrement les autres sœurs s’apercevraient que je suis jupe retroussée jusqu’au ventre et tantôt, c’est le vicaire qui me caresse le sexe et tantôt le curé qui me fouille le vagin quand ce n’est pas les deux en même temps, et bientôt, je suis à la limite de ma résistance, nous n’entendons que la sœur qui fait la lecture, mais il me semble que sa voix est couverte par les clapotis de mon sexe au point que mère Cécile décide du retour au bureau, où je me retrouve nue assise sur les genoux de monseigneur qui me fait écarter les jambes afin d’avoir un accès total à mon sexe, tout en discutant avec mère, Cécile assise sur son bureau et offrant sa fente aux deux autres prêtres.
Déjà très excitée par ce qui s’est passé durant le repas, je me retrouve au bord du gouffre ; les doigts du prélat caressent chaque centimètre de mes chairs ultra-sensibles, je ne suis plus capable d’avoir l’esprit à autre chose que de prendre ...
... du plaisir. Je me sens comme une femelle en chaleur qui ne désire qu’une seule chose, se sentir pleine de ce gros sexe qui est dressé contre mon dos, je suis incapable de suivre la conversation.
Je vois devant moi mère Cécile cuisses grandes ouvertes et les mains des deux hommes qui fouillent sa vulve ; les doigts courent le long des chairs luisantes de plaisirs, ou bien deux doigts décapuchonnent le clitoris et un pouce vient faire des ronds sur le bouton turgescent, tandis que mère Cécile masturbe à pleine main le sexe de chaque homme, à qui elle offre son corps.
Alors que je suis maintenant à deux doigts de jouir, Monseigneur me fait lever, j’ai soudainement l’espoir que je vais être à nouveau pénétrée ; mais ce n’est point le cas, Monseigneur me tient par la taille et il me garde près de lui en me tenant par la main qu’il pose sur son gros sexe, ma petite main n’en fait pas le tour, et ce sexe me brûle la main comme un tisonnier chauffé à blanc. Dans mon hébétude, j’entends vaguement monseigneur dire à mère Cécile “je la prends avec moi à l’évêché afin de la former”.
Et à moi : « Allez chercher quelques affaires et revenez me voir ».
J’enfile ma robe et je rejoins ma cellule et je fais un petit sac, je mets ma pèlerine et je retourne au bureau de mère Cécile.
Quand j’entre, tout le monde est rhabillé.
Ma mère me dit : « sœur Agnès, vous allez partir pour quelque temps avec monseigneur pour une formation qui vous sera utile et aussi pour le plaisir de ...