1. Chantal (7)


    Datte: 16/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: lerelieur, Source: Xstory

    Chantal 7
    
    Sœur Agnès raconte sa rencontre avec l’évêque.
    
    Pendant cette toilette commune, Chantal demande à Agnès comment elle est arrivée à ce qui vient de se passer. C’est cet intermède que sœur Agnès va nous raconter avant de revenir aux frasques de Chantal.
    
    Écoutons Agnès.
    
    « Je suis entrée au couvent parce que mes parents désiraient me marier à un homme bien plus âgé que moi, il avait l’âge de mon père, mais il était riche et en affaire avec mon père.
    
    Alors que j’étais encore novice, la mère supérieure m’a prise sous son aile, je suis devenue en quelque sorte sa secrétaire, et après quelques mois, je suis devenue sa confidente.
    
    Je me doutais bien qu’il se passait des choses au sein du couvent, mais je n’en avais aucune preuve.
    
    Jusqu’à un soir où à la fin du dernier office de la journée, en l’occurrence les complies, tandis que les autres sœurs quittent la chapelle pour regagner leurs cellules, mère supérieure reste encore un moment en prière, je reste avec elle.
    
    Puis au bout d’environ dix minutes, elle se lève et me fait signe de la suivre. Nous traversons le cloître pour rejoindre le couloir des cellules.
    
    Arrivées à la porte de sa cellule et bureau, elle me dit: « entrez, sœur Agnès, j’ai quelque chose à vous montrer. Un jour, c’est vous qui serez la supérieure de ce couvent, je sais, vous n’avez pas encore prononcé vos vœux, mais je vais vous confier un secret réservé aux supérieures de ce couvent.»
    
    Nous entrons dans son bureau, elle ...
    ... s’approche de la bibliothèque et en l’écartant facilement du mur, je découvre un passage secret et la mère supérieure s’y engage, me faisant signe de la suivre en silence, et nous engageons dans un couloir avec pour seule lumière ce qui me semble être des petites fenêtres, certaines sont faiblement éclairées et en s’approchant de la première, je m’aperçois que ces fenêtres donnent sur l’intérieur des cellules et je peux voir qu’une de mes sœurs est nue sur son lit et qu’elle se caresse le sexe avec ses deux mains, je suis scotchée à cette fenêtre, à voix basse, juste à mon oreille, mère supérieure m’explique qu’en fait, ces fenêtres, ce sont les glaces sans tain dans chaque cellule qui lui permettent de voir ce qui ce passe dans le couvent en dehors de la vie commune et comment maintenir une certaine discipline.
    
    Sa joue contre la mienne, la chaleur de son souffle me fait frissonner.
    
    Mais me prenant par la main, elle m’emmène vers une autre fenêtre et là, stupeur de ma part, je vois à la lueur d’une bougie, deux sœurs tête bêche en train de lécher le sexe de l’autre ; à ce moment, je ressens une bouffée de chaleur m’envahir, mais pas le temps de s’attarder sur cette vision érotique, ma supérieure m’entraîne vers une autre fenêtre pour découvrir un autre spectacle, une novice comme moi, mais parfaitement au fait de pratiques sexuelles dont je n’avais aucune idée.
    
    Elle était accroupie sur son lit avec un cierge de bonne dimension qu’elle agitait fiévreusement dans son sexe. ...
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