Chantal (7)
Datte: 16/09/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: lerelieur, Source: Xstory
... C’est la dernière vision que j’ai eue. Quand je suis revenue à moi, j’étais allongée dans un lit avec une autre personne au pied du lit, et soudain, j’ai un frisson et je réalise que je suis nue et que la mère supérieure est dans la même tenue que moi. Je tente de cacher mon sexe, mais elle m’en empêche et au contraire, c’est sa main qui prend place sur ma féminité tandis que sa bouche entoure un de mes tétons et se met à le sucer.
Je me laisse faire, connaissant l’autorité d’une supérieure de couvent sur les filles qui sont sous sa tutelle.
Alors, mère supérieure s’est couchée à côté de moi et nous nous sommes caressées, peu au fait des pratiques sexuelles, je me suis laissée guider, imitant comme je peux les gestes de ma supérieure. Plusieurs fois, chacune a éprouvé le plaisir généreusement donné par l’autre, c’est durant cette nuit que la mère supérieure m’a initiée à la pénétration de son sexe avec la main, son sexe était large ; une véritable grotte de chair dans laquelle coulissait toute ma main, jusqu’au poignet, c’était chaud, gras onctueux, et mère Cécile se caressait le clitoris « vous avez vu Chantal comme il est énorme bien en proportion du reste du sexe !!! ».
Nous avons passé la première partie de la nuit ensemble jusqu’à l’office des vigiles à deux heures du matin, à ce moment, j’ai pu voir la fatigue sur le visage de certaines sœurs, il en était de même pour moi, à la suite de l’office, j’ai regagné ma cellule pour deux heures de sommeil jusqu’aux ...
... matines, j’ai allumé la lumière et je me suis couché nue, écartant bien les jambes afin de montrer au mieux mon corps vers la glace, espérant que mère Cécile était en train de m’observer dans le couloir.
Au cours de la journée, mère Cécile n’a en rien évoqué cette nuit, et moi-même, encore très troublée, je ne me suis pas permis de le faire ; mais jusqu’à ma prise de voile, ce début torride de nuit s’est renouvelé, mais cela se passait dans le couloir secret où nous nous caressions, tout en regardant le spectacle que nous offraient les sœurs, nues toutes les deux, nous frottions nos sexes sur les cuisses de l’autre, mes seins au contact des grosses mamelles de mère Cécile étaient électrisés au point d’en ressentir presque de la douleur, mon sexe coulait littéralement sur ses doigts qui fouillaient mes chairs, mais je sentais qu’il me manquait quelque chose, mon sexe réclamait plus de possession, j’éprouvais le besoin d’être investie, remplie, je m’en suis confié à mère supérieure, qui m’a répondu que ça viendrait, que bien plus souvent, j’aurai la chance de goûter au sexe, à la débauche sans retenue, au sein du couvent plutôt que mariée à un homme qui s’occuperait bien moins de moi, sa promesse s’avérera exacte.
Chantal : « quand avez-vous rencontré Monseigneur ? ».
Agnès : « la première fois quand j’ai prononcé mes vœux et pris le voile, avant la cérémonie, mère Cécile m’a prise à part en me disant que j’allais me confesser à Monseigneur, et que je n’avais rien à lui ...