1. Tout feu, tout flamme


    Datte: 16/09/2018, Catégories: f, fh, fplusag, jeunes, Inceste / Tabou bain, douche, revede, Masturbation pénétratio, mélo, fantastiqu, Auteur: Divine, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :Sophie Hash, une enseignante de vingt-huit ans, échappe par miracle à un terrible accident de voiture. Sans l’intervention d’un pompier volontaire, Marc Ginest, elle aurait péri carbonisée. Deux semaines après l’accident, Sophie retrouve par hasard son sauveur dans la médiathèque de Lancroix, dont il se trouve être le nouveau bibliothécaire. Ce trentenaire au physique attrayant lui propose un dîner, qu’elle accepte avec joie. Lors de cette soirée, elle tombe définitivement sous son charme. Marc la ramène chez elle sans pour autant en profiter pour initier le rapprochement qu’aurait souhaité la jeune femme.Sans nouvelles de Marc, Sophie met un mouchoir sur sa fierté et le recontacte une semaine plus tard pour un apéro. Le pompier lui propose alors de lui faire découvrir la région, lors de ses randonnées du week-end. Sophie accepte avec joie – l’occasion de se rapprocher de Marc ? Leur première virée à pour cadre le lac des Bouillouses, dans le Capcir. Tandis que le fringuant pompier s’adonne à son loisir favori, la pêche au coup, Sophie se retrouve, de fil en aiguille en train de se caresser. Elle se fait surprendre dans cette position délicate par le cousin de Marc, un étudiant prénommé Thomas, tombé sur eux par hasard. Au grand désespoir de Sophie, Thomas semble avoir tout vu…Très sensible aux charmes de l’enseignante, l’adolescent se laisse tirer les vers du nez par Sophie, qui apprend ainsi ce qui est arrivé l’été précédent au lac de ...
    ... Matemale – les circonstances de l’étrange noyade de Manon, la fiancée de Marc. Un jeu érotique initié par la jeune femme se met en place entre Thomas et Sophie. Celle-ci s’échauffe peu à peu, au point de ressentir une attirance proprement surnaturelle pour l’ado, au moment de rejoindre, seule, sa tente pour la nuit…
    
    Il faisait nuit noire dans la petite tente. Les yeux grands ouverts, pelotonnée dans mon sac de couchage, mes mains bien à l’abri entre mes cuisses, je ne dormais toujours pas. Ça faisait plus de deux heures que j’écoutais siffler le vent dans les branchages. J’essayais de ne plus penser à Thomas, luttant contre ce désir inhumain qui m’avait enflammée comme une allumette embrase une traînée d’essence.
    
    Malgré tous mes efforts, la fournaise dans mon buisson bouclé n’avait pas décru. À la place de mon chaste abricot pulsait un animal sauvage, hors de contrôle. J’avais l’impression que je devenais dingue, que j’étais coupée en deux. D’un côté, la logique, mon attachement à Marc, toutes mes valeurs ; de l’autre, « ça », ces pulsions lancinantes, diaboliques. Depuis que l’étudiant m’avait touchée, je ne m’appartenais plus.
    
    La « déflagration » Thomas n’avait pas fini de se répercuter en moi. Cet embrasement démentiel ne se préoccupait que de sa satisfaction immédiate, soit un rapprochement rapide entre mes parois intimes, hyperlubrifiées, et la virilité conquérante de l’ado. À ma grande honte, la différence d’âge, le spectre des relations élève-professeur – fermement ...
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