1. Le thermomètre.


    Datte: 16/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... attendu quelques instant avant de le ressortir, sachant très bien ce que j’allais y lire.
    
    - Tu n‘as rien ! Fis-je.
    
    - Tu ne peux pas savoir comme cela me réconforte.
    
    Elle a jubilé en apercevant la bosse que provoquer mon érection sous mon jean.
    
    - Tiens Alain ! Fit-elle en me tendant à nouveau le flacon. Respire encore une fois.
    
    J’en ai inhalé une grande rasade dans chaque des deux narines avant de le lui retourner. Elle en fit de même.
    
    - Viens maintenant ! Touche-moi entre les cuisses ! Je te promet que tout cela restera entre nous ! A-t-elle haleté.
    
    Dans un état second, j’ai laissé errer ma main dans les poils, ébouriffant le crin dru, englué de mouille. Profitant de mon égarement, Audrey a dégrafé mon pantalon. Et avec ses doigts a effleuré mon érection.
    
    - Waouh ! A-t-elle bêlé en fixant ma verge après l’avoir soutiré de son nid de toile.
    
    Sa stupéfaction était telle que je me suis demandé un instant si elle avait déjà vu un sexe d’homme.
    
    - J’en connais une qui aimerait être à ma place !
    
    - Je peux savoir de qui tu parles ?
    
    - De ma mère, tiens ! De qui d’autre ?
    
    - Ta mère !
    
    - Oui ma mère. Je l’ai surprise en train de dire à ses copines, qu’elle ne serait pas contre de s’envoyer en l’air avec toi.
    
    - Tu ai sûr qu’elle parlait de moi ?
    
    - Certaine… A-t-elle lancé, les yeux rivés sur mon pénis.
    
    Elle a penché sa tête pour aspirer mon gland, tout en tâtant mes couilles de ses doigts. Gloussant de ravissement en les sentant ...
    ... pleines. Une chaleur délicieuse a envahi mon ventre.
    
    Elle hoquetait, tout en me la suçant. Elle avait une bouche de bonne pipeuse. J’en n’avais jamais douter. Tandis qu’elle me pompait, je me suis arrangé pour approché mon visage de son sexe. Son odeur m’a tout de suite infecté les narines. Du bout des doigts j’ai écarté les grandes lèvres luisantes de mouille. Sans réfléchir, j’ai plongé ma langue dans la fente. La faisant coulisser vivement de bas en haut. Fignolant un nettoyage en profondeur. Une copieuse rasade de mouille a giclé dans mon gosier. Je ne m’attendais pas à une réaction aussi rapide de sa part. J’ai alors enfoncé ma langue dans l’orifice. Aussi loin que je le pouvais. Buvant jusqu’à plus soif sa jeune mouille aigre.
    
    D’une main, j’ai palpé les rondeurs de ses fesses laiteuses, les écartant tant que je le pouvais. La seule vision du trou étoilé tapi dans l’épaisse touffe de poils m’a donné envie d’y goûter. Je l’ai fait avec la pointe de ma langue, violant l’entrée. Ce qui eu pour effet de lui arracher un grognement de satisfaction.
    
    J‘étais à peu près sûr que c‘était une première pour elle, ce genre de caresse. Ils ne sont pas légion, les jeunes à aventurer leurs langues dans cette contrée impure de l‘anatomie féminine.
    
    Pourtant la coquine avait l’air d’amer cela, qu’on s’occupe de son cul. Je n’ai pas hésité un seul instant d’y enfoncer mon index. Qui a franchi sans encombre le sphincter lubrifié par ma salive. Audrey s’est cambrée, propulsant ses reins ...