1. Le thermomètre.


    Datte: 16/09/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Oh excuse-moi ! Je pensais que…
    
    - Bon… bon, ça ne fait rien. Tiens, fis-je en lui tendant le thermomètre.
    
    Elle m’a regardé d’un regard interrogateur, que je ne lui connaissais pas jusqu‘alors. Puis elle m’a chuchoté :
    
    - Il serait possible que tu m’aides. Je me sens d’un coup toute ankylosé.
    
    - Voyant Audrey ! Tu es consciente de ce que tu me demandes
    
    là !
    
    Sentant mon embarras, elle a ajouté :
    
    - Tu es père. Tu sais comment faire.
    
    - Oui, mais toi tu n’es pas ma fille.
    
    - Raison de plus, alors ! A-t-elle répondu en écartant les pans du peignoir.
    
    M‘exhibant sans aucune gêne sa vulve au milieu d‘un gros nid de poils, que je me suis mis a fixé avec une intensité effrayante. Je n’en croyais pas mes yeux. J’allais d’étonnement en étonnement avec cette jeune fille. Mon désir n’a pas tarder à se réveillé. Soulevant impérieusement, le jean de mon pantalon.
    
    - Tu as un sacré toupet de t’exposer de la sorte devant mes yeux.
    
    - Cela te trouble ? Serais tu timide ? À ton âge. Fit-elle avant d’ajouter, en écartant un peu plus le compas de ses jambes. Où il n’y a pas de gêne il n’y a pas de plaisir. Je ne te plaît pas ?
    
    J’avais le visage en feu et la gorge sèche.
    
    - Alors Alain ? Vas-tu enfin te décider à prendre cette température ?
    
    - Si tu insistes.
    
    - Je le souhaite même. Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps j’attends ce moment. A-t-elle répondu. Il m’a semblé qu’elle avait rougie en lâchant ses quelques mots.
    
    Cette petite gêne ne la ...
    ... pas empêcher de se pincer de deux doigts les lèvres de son sexe. J’ai vu alors, son vagin éclore et révéler la chair couleur saumon de son orifice. Ma respiration s’est accélérée, tandis que ma bouche s’est encore un peu plus desséchée Un flot de liquide blanchâtre s'est écoulé de sa chatte et s’est répandu sur le couvre lit.
    
    Audrey m’a alors tendu un petit flacon.
    
    - Respire ça Alain. Cela va t’aider.
    
    - Qu’est-ce que c’est ?
    
    - T’occupe, respire, je te dis.
    
    Incapable de réfléchir plus longtemps, j‘ai collé le flacon à ma narine. J’ai aspiré un grand coup en faisant la grimace.
    
    - L’autre narine aussi ! A-t-elle insisté.
    
    Et j’ai obéit. Aussitôt elle m’a arraché le flacon des mains et l’a porté à ses propres narines. J’avais le cerveau comme embrumé.
    
    - Aller sois gentil maintenant mets-moi le thermomètre dans le cul. M‘a-t-elle lancé, en rabattant ses jambes contre la poitrine, dans une pose des plus obscène. J’ai distingué les petits replis. Les petites excroissances qui formaient le muscle anal, tapi au milieu d’une épaisse touffe de poils crépus.
    
    - Il va falloir que j’aille mettre un peu de vaseline sur le bout. Fis-je en fixant ma cible.
    
    - Pas la peine grand nigaud. J’ai dans l’autre boutique tout ce qui te faut.
    
    Dans un état second je me suis posé près d’elle. J’ai glissé le thermomètre dans son sexe, j’en ai fais deux allers retours. Un soupir de sa part a accompagné l’introduction. Puis j’ai plongé la pointe argentée dans son anus. J’ai ...