1. L'occasionnelle


    Datte: 15/09/2018, Catégories: fh, inconnu, hotel, fsoumise, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, tarifé, Auteur: Chamberienne, Source: Revebebe

    ... d’ouverture se déclencha et je me glissai dans la chambre.
    
    Dans la pénombre, je vis un homme allongé sur le lit, il avait simplement enlevé ses chaussures. Il me dit de manière assez directive que l’enveloppe était sur la table. Après que j’ai vérifié le contenu, il me demanda de me mettre contre le mur, face au lit. Je me mis alors à le regarder et vis quelqu’un, sans doute plus âgé que ce qu’il annonçait, d’une allure quelconque mais acceptable. Il me demanda d’enlever mon chemisier puis mon soutien-gorge. Il se leva alors et, face à moi, commença à m’effleurer l’épaule et vint assez vite me caresser les seins presque négligemment. Puis il s’assit au bord du lit, juste en face de moi et me demanda de me retourner et de soulever ma jupe. Je me pris au jeu et le fis de manière suggestive. À la vue de mes bas et de mon string, il me dit :
    
    — Alors, c’est ce petit trou qui est étroit ? Ne t’inquiète pas ma belle, tu repartiras plus élargie.
    
    Il me demanda de me retourner et de ne garder que mes bas et mes talons. Je me retrouvai nue devant lui, il revint me toucher en commençant de nouveau par mes épaules et mes seins. Il descendit sa main sur mon sexe et entra ses doigts sans ménagement. Il constata alors que la situation ne me laissait pas indifférente. Il enleva sa main et me le fit plutôt crûment remarquer en étalant mon liquide sur mes lèvres. Il me roula alors une pelle. J’avoue que je n’avais pas imaginé un homme m’embrasser dans cette situation. Je ne trouvais ...
    ... pas cela bien agréable, d’autant plus qu’il y rajoutait allégrement sa langue.
    
    Je comprends tout à fait les vraies putes qui refusent cet acte si intime. J’essayai de m’opposer en tournant la tête, mais il insista en me rappelant ma demande qu’il soit exigeant et directif. Je me mis à caresser son dos, déboutonner sa chemise pour faire diversion et aller à l’essentiel. Il avait un corps typique des cinquantaines, une petite bedaine. Il cessa alors de m’embrasser et appuya fermement sur mes épaules pour me faire mettre à genoux. Là, j’entrai dans mon rôle. En enlevant son pantalon, je caressai son sexe avec mes joues à travers son slip et j’en profitai pour enlever ses chaussettes (je trouve que c’est vraiment une faute de goût de garder ses chaussettes dans un moment pareil). Il me demanda d’enlever son slip et un sexe de taille plutôt ordinaire m’attendait. Cela me rassurait pour l’éventuelle sodomie.
    
    « 300 euros, c’est une somme, tu vas t’appliquer. » Et je m’appliquai avec mes mains, mes lèvres, ma langue. Je le suçai et finis littéralement par aspirer son sexe, caresse que quelques hommes m’ont dit adorer. J’eus droit à des « pute, salope, sacrée suceuse… » que je ne supporte pas en temps normal mais ne me dérangèrent pas à ce moment. Je me surpris alors à avoir les mêmes tactiques, j’imagine, que les vraies putes, le faire jouir au plus vite et partir avec le fric. Mais je me rendis compte que j’étais un peu prétentieuse, il avait l’air de bien se contrôler, le ...