1. En Érinlande


    Datte: 15/09/2018, Catégories: fh, amour, Oral 69, pénétratio, historique, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... peine, cela ne n’empêcha pas leurs lèvres de se trouver. Deux minutes plus tard, il troussa sa jupe et loin de s’en offusquer, elle écarta fort complaisamment ses adorables gambettes. Il n’eut aucun embarras à accéder à son con. Il y fut accueilli avec flamme. Ils mirent tant d’ardeur à leurs ébats qu’il dut bientôt se retirer pour se répandre sur ses poils. Un peu haletante, elle murmura dans un souffle :
    
    — C’est mal ce que nous venons de faire.
    — Alors, tâchons de faire mieux, cette fois.
    
    Elle ne protesta pas quand il l’embrassa de nouveau, car elle se sentait un peu frustrée de n’avoir pas pleinement profité de ces moments. Il la caressa, lui suça les tétons un long moment avant de revenir la limer quand il la jugea dans les meilleures dispositions. Il prit davantage son temps. La demoiselle apprécia beaucoup, mais s’abstint de trop le manifester, la maison paternelle n’étant pas si éloignée. Elle apprécia même tant qu’elle n’hésita pas à accepter de laisser fréquenter sa grotte tant régulièrement qu’énergiquement.
    
    Revenons à Luaine, une fois seule, ses pensées tournent à lui donner le vertige. La discussion qu’elle vient d’avoir lui a insufflé la volonté de ne pas rester sans rien tenter. Pourquoi échouerait-elle là où Adela a réussi ?
    
    Liam doit trop la regarder que comme une hôte à protéger avec ce que cela de respect. Elle soupçonne que ce respect, fort honorable au demeurant, crée une sorte de barrière entre eux. Et en cela, elle voit juste. Il faut ...
    ... changer cet état. Pour cela il lui faut que leurs rapports soient moins formels, y mettre plus de cordialité et de familiarité, tout faisant attention à ne pas l’aguicher ouvertement.
    
    Pour commencer, Luaine s’intéresse plus à ce que fait le maître de maison, pose des questions, l’accompagne parfois. Cela ne l’empêche pas de continuer à voir Trevina, peut-être un peu moins souvent. Elle les a vus s’embrasser. Rien d’un baiser passionné, à peine leurs lèvres se sont-elles effleurées.
    
    Ensuite Adela et sa chemise de nuit bâillant lui donnent une idée. Elle va en mettre une en tissu léger qui la moule un peu, et comme il ne fait pas froid, elle ne portera point de robe de chambre par-dessus. En plus elle s’arrange de temps à autre à se mettre dans le soleil levant ou couchant révélant, en toute innocente bien sûr, ses formes sous le regard intéressé de Liam, comme un coup d’œil à la dérobée lui a permis de la constater. Déjà avant ce petit jeu, il la trouvait séduisante. En plus, la grand-mère lui fait un petit signe complice approbateur. Il se montre plus chaleureux, mais rien de décisif.
    
    Un jour, une inspiration lui vient. Un matin avant de prendre son petit déjeuner, il s’asperge le visage à l’abreuvoir. Elle s’avance en catimini et le pousse. Il tombe dans l’eau. Il se redresse, tandis qu’elle éclate de rire en voyant son expression. Revenant de sa surprise, il s’empare d’un seau. Elle crie : « Non ! » et s’enfuit toujours riant. Il la poursuit. À une remise, elle prend par ...
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