Ma cousine confond 'cousin' et 'amant' - Histoires de Sexe

Ma cousine confond 'cousin' et 'amant'

... s’ouvre grandement pour laisser échapper de nouveau quelques petits cris aigus signe d’un orgasme imminent. Dans un dernier souffle, ma cousine crie quelques obscénités marquant son orgasme. Elle jouit au-dessus de moi dans de grandes respirations étouffant ses cris. Elle vient de prendre son pied uniquement grâce à la masturbation mutuelle de notre intimité. Ma nouvelle amante s’effondre ensuite sur moi, essoufflée, les joues écarlates et le corps humide de transpiration.

Ma cousine se rallonge sur mon corps pour venir m’embrasser du bout des lèvres dans de petits bisous pleins de tendresse. Ceux-ci semblent être comme des remerciements pour l’avoir conduite jusqu’à l’orgasme. Mon sexe lui est toujours aussi gonflé de désir et, contrairement à elle, je n’ai pas eu le temps d’atteindre un orgasme comme le sien. Elle doit vraisemblablement le sentir puisque mon sexe bandé palpite encore tout contre ses cuisses.

Après quelques instants consacrés à récupérer son souffle ma cousine se redresse de nouveau sur moi. Elle saisit alors mon sexe dans sa main droite et soulève son bassin pour venir placer ma verge érigée à l’entrée de son jardin secret. Mon gland surgonflé de désir franchit ses grandes lèvres ouvertes tels deux pétales de roses. Elle est encore trempée et je n’ai aucun mal à m’introduire dans son vagin. Ma cousine grimace en me sentant pénétrer doucement en elle. Elle m’avoue alors que le seul sexe qui ne l’a jamais pénétré, celui de son compagnon actuel, est loin ...

... d’offrir un calibre comme le mien. Ce n’est pas vraiment une question de taille de la verge puisque je suis loin de pouvoir me vanter d’avoir un grand sexe. C’est plutôt une question de grosseur, ce à quoi les filles sont, parait-il, plus sensibles au moment de la pénétration.

Ma cousine fait descendre doucement son corps sur mon sexe. Je m’introduis en totalité et d’une seule traite à l’intérieur de cette grotte surchauffée. Malgré presque 3 ans de pratiques sexuelles mon amante a encore le vagin très serré, presque comme celui d’une jeune fille vierge, preuve du petit calibre de son compagnon. J’éprouve alors des sensations inouïes à enfiler ma verge dans une gaine si serrée. Quand à elle, une fois mon sexe englouti, elle marque un temps d’arrêt afin de bien prendre la mesure de la grosseur de ce gourdin introduit au plus profond de ses entrailles. Je la sens se contracter à 2 ou 3 reprises enserrant mon sexe dans un étau de velours manquant de me faire éjaculer immédiatement en elle.

Puis, appuyant ses mains sur mon ventre, ma cousine entame quelques doux mouvements de va-et-vient. Elle grimace et pousse des râles très significatifs, presque de douleur en sentant cette matraque si grosse à ses yeux aller et venir en elle. Après quelques mouvements de piston elle s’empale de nouveau au maximum sur mon sexe jusqu’à s’asseoir sur moi. Elle arrête son branle et en profite encore pour apprécier la grosseur de mon membre. Elle contracte alors une nouvelle fois puissamment ...