Ma cousine confond 'cousin' et 'amant' - Histoires de Sexe

Ma cousine confond 'cousin' et 'amant'

Résumé des épisodes précédents

Après plusieurs mois sans nouvelles d’elle je retrouve ma cousine qui vient me rendre visite chez moi. Je découvre vite que ma cousine souhaite maintenant jouer avec moi à d’autres jeux que ceux auxquels on s’adonnait adolescents. Devenue femme ma cousine avait maintenant une sexualité épanouie et elle était bien décidée à me dévoiler tous ses charmes. Un passage près d’un ruisseau me le confirma. Nous nous retrouvons nus, allongés sur la plage, enlacés l’un à l’autre.

C’est ma cousine qui me sort de mes rêveries en bougeant un peu. Nous sommes toujours enlacés. Je l’étreins encore plus fort tout en l’embrassant sur les joues. Elle commence à me rendre mes baisers et à promener ses mains sur mon dos.

Petit à petit nos caresses et nos baisers se font plus malsains. Mes mains descendent sur ses hanches et ses fesses et je les caresse maintenant à pleine main. La respiration de ma cousine se fait de plus en plus saccadée. Des traits de rougeur apparaissent sur ses pommettes. Nos bouches, qui s’évitaient jusque là, s’approchent l’une de l’autre puis nos lèvres entrent en contact. Ses lèvres sont d’une douceur incomparable qui ne donne que l’envie de les embrasser. On s’embrasse d’abord du bout des lèvres, doucement, tendrement mais de plus en plus passionnément. Puis nos bouches s’entrouvrent, nos langues humides se cherchent, puis se touchent, se caressent, s’entremêlent et se mettent à danser ensemble sur la musique de nos respirations ...

... haletantes.

Cette passion soudaine produit vite ses effets sur moi. Mon sexe se gonfle petit à petit de désir ce que ma cousine ne peut pas ignorer étant donné la façon dont nous sommes enlacés. Ma verge érigée se frotte en effet tout contre ses cuisses, ses hanches ou son ventre selon les positions que nous prenons. Nos baisers sont passionnés et sa respiration encore plus haletante me stimule encore plus.

Après d’intenses minutes de passion ma cousine me fait rouler sur le dos, puis passe ses jambes de chaque côté de mon corps pour se retrouver en position de cavalière. Elle s’allonge ensuite sur moi pour revenir m’embrasser, emprisonnant mon sexe entre nos deux ventres. Nos langues se mêlent de nouveau l’une à l’autre. Je sens ma cousine décidée à prendre les choses en main d’elle-même. Peu à peu elle entame de légers mouvements de bassin afin de frotter mon sexe sur son bas-ventre.

Essoufflée par le plaisir, ma cousine se redresse et s’assoie, les fesses posées sur le haut de mes cuisses. Je la tiens toujours par les hanches mais mes mains ne peuvent s’empêcher de remonter sur son imposante poitrine. Je suis toujours autant fasciné par ses tétons roses gonflés de désir venant comme deux cerises posées sur des montagnes de crème Chantilly. Elle me laisse caresser sa féminité tout en me souriant. Je m’attarde longuement sur ses seins. Jamais dans ma vie je n’ai tripoté une telle poitrine. Sa poitrine est à la fois si lourde et si moelleuse sous mes doigts. Je les ...