Mon Maître <3 (3) - Histoires de Sexe

Mon Maître <3 (3)

... Maître. Après tout, j’étais avant tout sa soumise ! Autant me donner quelques récompenses en tant que telle. Quand j’estimai que ce fut assez, je lui demandai de poser la brosse et de me masser.

“À la manière d’Yves Montan et de Louis de Funès dans La Folie des Grandeurs, flatte-moi. De compliments que tu penses.

Vous êtes belles.

Je sais. Mais encore ?

Vous êtes intelligente… Mature…

Il continua ainsi et je sentis qu’il en avait d’’autres en réserve. Je lui demandai d’arrêter et me retournais vers lui.

Le dernier compliment, tu vas me le dire droit dans les yeux. Il faut que ce soit le meilleur.

Et les yeux dans les yeux, il me répondit :

Vous être très intuitive.

Je ris et lui caressai la joue pour le remercier de ce moment.

Bon. Combien de fessées penses-tu pouvoir tenir ?

20.

Tiens, je comptais t’en mettre 15… Mais va pour 20.

Je lui agrippais les cheveux pour annoncer la suite, pour être sûre qu’il m’écoute ( la bonne blague ).

Comme je sais que tu n’as pas une grande résistance à la douleur, je vais faire attention. Alors pour me montrer ta reconnaissance, tu ponctuer chaque fessée par ‘’Merci Gabrielle’’.”

Moi qui pensais le mettre en colère de cette manière, je me suis trompée. Il encaissa les 20 presque sans broncher. J’allais devoir trouver autre chose.

Je le fis s’allonger sur le dos, lui passai le masque occultant et lui attachai les poignets que je me dis derrière sa petite tête. Je me mis sur lui et soupirai de ...

... contentement.

“Fais un bisou avec ta bouche”

Avec un moment d’hésitation et un petit rire nerveux, il mit sa bouche en cul de poule et je me laissai un temps pour admirer le ridicule délicat de cette situation. Ah… Mon Maître. Cet homme fort et imprenable.

Je sortis mon rouge à lèvre favoris, un rouge vif de KatVonD pour les connaisseurs, et en appliquai une couche généreuse sur ses belles lèvres viriles. Il pouffa et moi j’éclatai de rire.

“Oh la la, ce que t’es pas beau comme ça !”

Je lui embrassai le cou, caressai son sexe et me tortillai dessus. Que c’était bon de profiter de mon Maître sans sentir son regard constant et son emprise sur moi ! Hm… Mais je ne l’avais pas encore mis réellement en colère. Et mon temps m’était compté, et une brillante idée me vint alors.

J’ouvris la fenêtre, pris une cigarette, me la mise entre mes lèvres rieuses et l’allumai. Au son du briquet, mon Maître soumis se tendit et protesta.

“Chuuuut… Laisse moi profiter.”

Mon premier moment mégalo narcissique à moi. Me délecter d’une cigarette bien méritée nichée sur mon Maître, que je ne quittai pas du regard, mes yeux happés par le spectacle du rouge à lèvre.

“Tu ne vas pas louper ce spectacle quand même !”

Je retirai d’un coup le masque occultant et il put observer toute l’insolence dont je faisais preuve aujourd’hui. L’homme insoumis, immobilisé par sa soumise. La figure d’autorité, le grand dominateur, mon Maître presque vénéré qui se laissait dominer par sa toute ...