1. Mane, Thecel, Phares !


    Datte: 14/09/2018, Catégories: fh, 2couples, extraoffre, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme échange, jeu, yeuxbandés, revebebe, extraconj, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... qu’elle va venir.
    — Elle était dans l’igloo, dans la quincaillerie ?
    — Tu le lui demanderas, elle gratte à la porte.
    
    J’ouvrirai. Elle sera encore en blouse, sous laquelle elle sera encore nue. Je la pousserai vers le lit. Elle mordillera mes tétons, se penchera vers ma chatte, aspirera mon clito… Nous jouirons ensemble, comme il y a si longtemps. Olivier nous rejoindra dans le lit. Ses lèvres sur ses seins, sur sa chatte sans poils…
    
    Il interrompt mes rêveries, parce qu’il est temps de quitter la plage pour être à l’hôtel à 18 heures. Mais déception, la Liliane de la thalasso n’est pas la mienne. Rien à signaler. Je ne l’intéresse pas, elle ne m’intéresse pas, la demi-heure se passe. Voici le dîner. Le maître d’hôtel, ce trentenaire à la barbe de trois jours, avec cette mode tous les garçons se ressemblent, ne pourrait-il pas être Thierry ? Ne pourrait-il pas nous murmurer, en présentant la carte :
    
    — Ce n’est pas le festin de Balthazar, mais le chef, le maître-queue, vous propose ceci…
    
    Non, il nous tend le menu, sans commentaires. Il a bien fallu quand même que quelqu’un le glisse sous notre porte, ce foutu mot ! J’ai beau dévisager les convives, tous et toutes, comme je l’ai fait à Pen-Bron, rien !
    
    Alors dans notre chambre, l’amour à la papa-maman. Et voilà qu’au petit jour, une fille nous apporte, comme chaque matin, les plateaux du petit déjeuner. Mais aujourd’hui, à sa demande si nous avons bien ...
    ... dormi, elle ajoute mon prénom :
    
    — Bien dormi, Monsieur ? Bien dormi, Sophie ?
    
    Elle me connaît ? Je ne l’ai jamais vraiment regardée. Je la dévisage. Mais c’est Laure ! Laure, la fille de la marchande de fleurs, que je surnommais Marguerite, et à qui j’ai fait lire un jour les pages roses du Larousse :
    
    — Marguerite, nous allons te livrer aux cochons.
    — Oh, oui, alors, vite !…
    
    Qu’elle reste donc avec nous, il y a de la place dans le lit ! Mais non, elle ne peut pas s’attarder, elle a d’autres clients à servir, mais le soir elle est libre.
    
    — Sauf que je dois me lever de bonne heure, pour livrer les plateaux, vous comprenez.
    
    Olivier me sourit. Pas besoin de parler pour le comprendre.
    
    — Bien sûr. Viens ce soir, Laure.
    
    Elle nous quitte, espiègle, par une petite révérence :
    
    — Je suis votre servante.
    
    Le matin, balade dans les marais salants. L’après-midi, Pen-Bron, comme d’habitude. Olivier :
    
    — Tu parles peu de Laure dans ton récit.
    — Elle était amoureuse de Mathieu, fils de gendarme. Mais plus tard, elle a couché avec Thierry. Ça l’amusait de me le piquer. Elle va recommencer cette nuit, avec toi.
    — C’est toi qui lui as dit de venir.
    — Bien sûr. Ça me reposera.
    — Hein ? Tu plaisantes, là ?
    — Devine ! Je te sais parfaitement capable d’honorer deux filles à la fois. Si tu me laisses en plan, je rôde toute nue dans les couloirs de l’hôtel.Qui n’en veut, de la petite Sophie, qui n’en veut ? 
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