1. Mane, Thecel, Phares !


    Datte: 14/09/2018, Catégories: fh, 2couples, extraoffre, fépilée, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme échange, jeu, yeuxbandés, revebebe, extraconj, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... tôt possible.
    
    — Ils en ont pris leur parti, dit Olivier.
    — En effet. C’est donc ton intello qui te relance.
    — Mais non ! Pense plutôt à ton péché mignon, les récits que tu envoies à Rêvebébé. Je cite : « Balthazar est son nom, quel fabuleux festin pour lui ! » C’est dansPhiloSophie, que j’ai relu ce matin.
    — N’oublie pas que c’est le site de l’imaginaire !
    — Tu y dévoiles quand même tes fantasmes, et je pense que tes personnages ont existé. Il doit même y avoir un peu de vrai dans ce que tu écris… C’est qu’il s’en passe des choses ! Avec tonQui vivra verrat tu traites carrément ton lointain cousin David de cochon. Tu balances ton porc comme on dirait aujourd’hui. C’est amusant !
    
    Il a peut-être raison, après tout. Un homme me regardait bizarrement dans le bassin de la thalasso. Je n’y ai pas prêté beaucoup d’attention parce que nous batifolions avec Jérôme et Mathilde, mais à la réflexion, ce pourrait être Thierry… Dans ce cas, le message reçu n’est pas une menace, mais un clin d’œil. Je n’ai jamais été fâchée avec Thierry. Nous avons un peu couché ensemble quand j’étais en fac de lettres et lui en médecine, puis la vie nous séparés, sans drame. Il a pu rater la sélection de fin de première année et devenir masseur-kinési. À la thalasso de l’hôtel, on connaît le numéro de ma chambre. Quant à la fameuse inscription de Babylone, il la citait parfois, comme nous tous, parce qu’elle nous amusait. La prof d’histoire nous en avait parlé.
    
    À l’accueil de la thalasso, la ...
    ... fille me renseigne. Aucun des masseurs ne peut être Thierry. En revanche, une certaine Liliane sera libre à 18 heures. À Pen-Bron, allongée sur le sable, je pense à elle.
    
    — Enfin ! me dira-t-elle. Je t’ai entrevue avant-hier dans le bain d’en bas, où je passe entre deux rombières que je tente de rajeunir. Mais tu n’as pas fait attention à moi. Bises ?
    
    Bises. Les joues. La bouche. Pas encore la langue… Nous sommes un peu guindées, il y a si longtemps ! Mais l’intimité va vite revenir.
    
    — Tu ne vas pas garder ce bikini, j’espère ? Moi je suis nue sous ma blouse. Personne ne viendra nous déranger. J’ai toujours adoré tes petits poils follets. Nous disposons d’une demi-heure. Toujours maso, Sophie ?
    — Un peu.
    
    Le gel cryotonique glacera mes seins, mais fera gonfler mes tétons que les dents de Liliane mordilleront. Elle prendra de l’argile, ses mains s’attarderont sur tout mon corps.
    
    — Colle-toi contre le mur, ma chérie.
    
    Le jet puissant et froid heurtera mon cou, mon dos, mes fesses, mes seins, ma chatte qu’il ouvrira. J’en aurai le souffle coupé.
    
    — Ton clito, je le débusque. Comme autrefois.
    — Avec ta langue, c’était tellement mieux !
    — Trop tard, fillette !
    
    La demi-heure passera vite, Liliane me montrera l’horloge.
    
    — Tu reviens demain, Sophie ?
    — Tu ne veux pas plutôt venir dans notre chambre, ce soir ?
    — Tu n’y seras pas seule, je suppose.
    — Olivier n’est pas jaloux.
    — On verra ça.
    
    Après le dîner :
    
    — Elle a dit : on verra ça. Mais je crois ...