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Balades
Datte: 14/09/2018, Catégories: fh, fhh, couple, extracon, forêt, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode, jouet, Auteur: Ours Gris, Source: Revebebe
... dit-il en se redressant. — André, je ne sais pas, je lui demanderai, mais moi certainement, j’aime beaucoup, répond Martine. — Alors à bientôt. Sans rien dire, je m’assois au volant en regardant discrètement Martine qui termine de lacer ses chaussures, avec le décolleté un peu trop ouvert, comme je le pensais. — C’est bon, je suis prête, on peut y aller. Je repars vers la route en faisant au revoir aux autres marcheurs. Eux aussi nous font de grands signes d’au revoir avec les bras. J’aperçois Hubert à nouveau très entouré. On roule un petit moment en silence, j’avoue qu’il me tarde de savoir ce qu’il lui a dit et que je n’ai pas pu entendre à cause du brouhaha des autres, et surtout s’il a « essayé » ? C’est Martine qui rompt le silence la première : — Tu as pu faire connaissance avec Hubert ? — Oui, j’ai pu lui parler un peu, mais ce n’est pas facile avec toutes ces femmes autour de lui. — Ah ! Tu vois ce que je t’avais dit ! Et… tu as entendu ce qu’il m’a dit ? — Oui, si on reviendra la prochaine fois. — Non, juste avant, quand tu étais derrière la voiture, près du coffre, il est venu voir comment allaient mes pieds. — C’est gentil de sa part. — Il m’a dit : « Si je te masse les pieds, j’ai droit à un baiser ? » J’ai le cœur qui bat. — Le coquin, il est gonflé ! Qu’est-ce que tu as répondu ? — À ton avis ? — Je pense que tu lui as dit poliment : « Non merci ». — J’avoue qu’il s’est passé plein de choses dans ma tête en quelques secondes, ...
... mais je lui ai répondu : « Je veux bien un massage des pieds, mais sans baiser ». Alors il a souri et il m’a massé les pieds juste quelques instants. Humm… il a des mains puissantes. — Très bonne réponse. — Qu’aurais-tu fais si tu m’avais vue l’embrasser ? — Je crois que tu vas être surprise. Je te signale d’abord que ton Don Juan s’intéresse plus à toi qu’à toutes les autres qui lui tournent autour. — Comment tu sais ça ? me dit-elle en m’interrompant. — Il est venu discuter un peu avec moi, ayant échappé un cours instant à ses admiratrices. — Qu’est-ce qu’il voulait ? — Je pense qu’il voulait en savoir un peu plus sur le monsieur qui t’a accompagnée. — Je lui ai dit que tu étais mon mari. — Tu vois, il s’intéresse à toi. — Et… qu’est-ce qu’il t’a dit d’autre ? — On en est venu à parler de femmes qui se laissent un peu faire. — Alors là, je t’arrête, je ne me laisse pas faire du tout. — Attends, laisse-moi finir… il pense que toutes les femmes sont plus ou moins pareilles et… il a pris le pari que tu accepterais un baiser. — Ah, c’était donc pour ça… je comprends mieux… qu’est-ce que tu as dit ? — J’ai relevé le pari qu’il n’y arriverait pas avec toi, tu as gagné un repas à La Cotinière. — Avec lui ? — Oui, puisque c’est lui qui a parié, et comme il a perdu, c’est lui qui paye. — Mais, je ne veux pas aller au restaurant toute seule avec lui ! Tu seras là aussi ? — Bien sûr, sinon il se serait trouvé gagnant dans les deux cas. — Eh bien dis donc, tout ça ...