De là, la débauche commence (1)
Datte: 28/08/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Galaxie55, Source: Xstory
... quelqu’un nous suivait.
Cette oppression est vite remplacée par l’excitation que me procure mon impatiente vorace. Elle ne laisse même pas le temps à la porte de se refermer, jetant son dévolu sur ma braguette. Je la pousse dans les chiottes et referme la porte derrière moi, tout en la plaquant contre la paroie. Je l’entraîne à genoux sur le sol, elle a tout de suite compris et déboutonne mon pantalon qui tombe par terre, ouvrant grand la bouche pour m’accueillir.
Je lui enfourne ma verge violemment dans la bouche, maintenant sa tête fermement entre mes mains. N’ayant rentré qu’à moitié mon imposant membre, je force sur mon bassin,poussant pour en rentrer encore davantage.
— C’est ça que tu attendais depuis tout à l’heure ? chuchoté-je, en lui pinçant le nez.
Après une dizaine de secondes de ce traitement vigoureux, je ressors mon gourdin, tapotant sa joue pour lui permettre de reprendre son souffle. Elle remonte son menton et tire la langue, en me regardant comme une salope le ferait, prête à tout pour essayer à nouveau de rentrer entièrement mon énorme bâton de chair au trois quart mouillé.
Elle y met tout son talent, mais ne réussissant pas à aller plus loin, cette petite chienne me lappe les bourses et fait remonter sa langue le long de ma hampe.
— Tends moi ton cul, je vais bien t’enculer, murmuré-je à son oreille, en l’aidant à se relever.
— Vas-y sans ménagement je veux ton foutre au plus vite dans ma gorge !
A ces mots elle se cambre ...
... au-dessus des chiottes, posant ses mains sur la lunette. Je prend sa chatte dégoulinante entre mes doigts, remontant pour lubrifier son petit trou. J’approche mon sexe tendu contre son anneau, appliquant de légères pressions ponctuelles, elle en gémit de plaisir. Elle se cambre davantage en ouvrant ses fesses avec ses mains, m’offrant sa rondelle sur un plateau.
Les pulsions de mon cœur s’accélèrent et je ne vois plus que ma bite s’enfouir dans cette cavité si étroite, déformant son arrière train. Je ne reprends mon souffle qu’arrivé tout au fond et commence un vigoureux traitement, la martelant de mon énorme engin, prenant appui sur ses épaules pour plus d’intensité. Je l’entend légèrement couiner, le son à moitié étouffé sortant des cabinets, elle retient les cris de son orgasme.
— Achève ton travail maintenant. Dis-je d’un ton tout bas, en lui présentant mon phallus à portée de bouche.
— Avec plaisir, lance-t-elle, du même ton, avant de se ruer sur mon sexe.
Elle me titille le gland de sa langue, en la faisant rouler sur la collerette et de sa main elle me branle prestement, n’attendant plus que je jouisse. Son autre main viennent me malaxer doucement les sacs et son regard m’implore de lui donner sa crème dessert.
Mes premiers spasmes la surprennent et la maculent de blanc. Le reste dégouline sur sa langue. Elle se délecte, me pressant, pour en extirper tout ce bon jus. Puis elle ramasse ce qu’elle peut sur son visage, aidée de mon chibre encore dur et le nettoie ...