1. Besoin de plus pour...


    Datte: 27/08/2023, Catégories: fhh, hplusag, cocus, Collègues / Travail fsoumise, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jouet, baillon, yeuxbandés, confession, vengeance, Auteur: Sésame, Source: Revebebe

    ... puissance.
    
    Si tu voyais… Oui, mais tu ne pourrais même pas envisager… Et pourtant…
    
    Oui, pourtant j’aime ce qu’ils me font. Je ne suis qu’une esclave volontaire et obéissante de leur désir. Mais leur désir est le mien et de me sentir prisonnière transforme chaque mouvement en une ode au plaisir.
    
    Je jouis. Je voudrais pouvoir me caresser… Mais mes amants devinent mes envies. L’un s’empare de mes seins, tirants sur les chaînes rivées à des tétons qui sont devenus des centres de plaisir alors que l’autre me flatte le clitoris qu’il a si bien aspiré.
    
    Ils jouissent. Je sens le foutre d’Abdou me remplir le ventre et rester bloqué par une tige qui refuse de ramollir.
    
    Je sens, non j’étouffe sous les flots de sperme que Georges déverse dans ma gorge. Gorge… Georges… Même combat !
    
    Son gland reste entre mes lèvres. Lui aussi semble encore en forme. Seigneur qui suis-je pour inspirer tant de désir ?
    
    J’ai à peine le temps de reprendre mes esprits qu’on me libère. Mais c’est pour m’attacher les bras derrière moi et si on m’enlève le bandeau, c’est pour le remplacer par la boule et la lanière qui d’aveugle me transformant en muette. Je comprends la puissance de cette mise en scène. Pourtant les deux bites dressées n’ont pas besoin de stimulant.
    
    Abdou s’effondre dans le canapé et alors que Georges m’aide, c’est pour m’empaler sur un dard qui vient de m’inonder.
    
    Me voici cavalière handicapée, dans l’impossibilité de saisir les rênes. Mais on ne m’en demande pas tant. ...
    ... On me demande juste de me pencher sur ma monture. On ne me demande pas plus alors que je sens qu’on tire sur le plug qui en me quittant, me laisse un grand vide. Georges est tout contre moi. Je sens son corps contre mon dos. J’aimerais pouvoir glisser mes mains dans sa toison, mais ce sera pour une autre fois. Il cherche mon petit trou. Il est autrement plus gros et surtout plus long que le plug qui même s’il m’a préparée n’est pas à la hauteur du défi.
    
    Et pourtant :
    
    Mon Dieu. Comment est-ce possible ? Il me pénètre lentement, sans effort et ce mandrin que j’ai sucé se glisse en moi, dans mon plus intime, écartant mes chairs avec une facilité que j’aurais crue impensable. Les deux chibres doivent se battre pour occuper le peu de place que j’ai à leur offrir… Mais c’est bon… Jamais on ne m’avait fait cela…
    
    — Armelle, je n’ai pas été tout à fait honnête avec toi.
    
    Je l’entends, mais ne l’écoute pas. Son sexe a déjà passé la barrière de mon anus et ma corolle n’a pas protesté, manifestement bien préparée par le plug pour accueillir plus « consistant ».
    
    — Je savais depuis longtemps que ton mari couchait avec ma femme.
    
    Il avance lentement. Il n’est pas si gros qu’Abdou, mais la bite dans ma chatte semble prendre toute la place.
    
    — Je savais parce que Marie l’avait remarqué et qu’elle me l’a proposé comme partenaire…
    
    Il pousse. Inexorablement son mandrin rampe pour me posséder.
    
    — Depuis des mois, ton mari baise ma femme devant moi… Abdou ne prend pas toute ...
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