La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1523)
Datte: 26/08/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... ne peux que le reconnaître…
- Baisse ton bermuda, ôte ce tee-shirt, petit chien.
J’obtempérais sans résistance aucune, je n’avais d’ailleurs aucune envie de réticence et c’est même presque mécaniquement que je me retrouvais presque nu devant cet Homme que je ne connaissais pas, avec pour tout vêtement un boxer moulant que mon sexe érigé déformait avec insolence.
- Alors ? Tu n’es pas excité ?, hein, petite salope, tu ne bandes pas ? Réponds.
- Oui je bande, Monsieur le Marquis, répondis-je honteusement en marmonnant mes mots
- Je ne suis pas sourd et pourtant Je n’ai pas bien entendu, redis-le plus clairement, à haute et distincte voix, J’ai dit
- Oui je bande, Monsieur le Marquis, je bande …
- Encore une fois, la lope
- Je bande, Monsieur le Marquis, je bande à en avoir mal tellement je bande…
- Voilà qui est mieux. Mais sais-tu pourquoi tu bandes, salope ?
- Je … Je ne sais pas, Monsieur le Marquis, mais je bande …, répondis-je, ne pouvant pas encore m’avouer à moi-même l’évidence de mon état servile
- Alors je vais te le dire, tu bandes parce que tu n’es qu’un chien soumis et que tu as besoin de soumission pour être épanoui. Répète que tu es un chien soumis …
- Non, je ne suis pas un… dis-je dans un réflexe de dignité
- Répète que tu es un chien soumis, je te dis … Sinon tu te rhabilles et tu quittes Mon Château sur le champ et tu M’oublies…
J’ai cru à ce moment-là que mon cœur allait exploser juste à l’idée de quitter le Château ...
... car une petite voix intérieure, très intime, me disait de céder à l’évidence de mon état. Alors je cédais à cette prise de conscience de cette réalité en avouant doucement d’une faible voix :
- Je suis un chien soumis … dis-je en baissant la tête, presque en chuchotant
- Je n’ai pas entendu, me dit-Il son regard puissant dans les yeux, répète le …
- Je suis un chien soumis … dis-je cette fois beaucoup plus fort et distinctement
La main du Noble palpait mon sexe sur le tissu fin de mon sous-vêtement puis passait sous celui-ci pour saisir mon membre dur. Son pouce effleurait mon gland décalotté. Je tremblais, rougissais. Que faisais-je de ma dignité que je venais de perdre en avouant tout haut être un chien soumis, que faisais-je aussi de mon intimité ? Pouvais-je éprouver du plaisir à accepter l’abject, l’ignoble et le déshonneur ? Mon cerveau était en vrac, un vrai bordel dans ma tête… et pourtant, pourtant l’excitation était bien là ! Tout se mélangeait, la honte, le plaisir, la crainte, l’envie, la répugnance, l’attirance…
- Et en plus, tu mouilles petite chienne ! Regarde ton liquide séminal dégoulinant !
En ne rien de temps mon boxer glissait sur mes cuisses et se retrouvait à mes chevilles. J’étais tétanisé, fesses et sexe à l’air. Monsieur le Marquis s’asseyait de nouveau dans Son fauteuil et me contemplait, alors que je bandais de plus belle. Impuissant, je ne pouvais rien faire, rien dire, plus bouger seulement conscient de ce qu’Il me faisait vivre, ...