1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1523)


    Datte: 26/08/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Nouvelle histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1522) -
    
    Chapitre 2 bis : Seconde rencontre avec Monsieur le Marquis d’Evans.
    
    Un regard … comme dire ?… un regard de Dominant … Lorsque j’eus fini mes explications, le Marquis d’Evans restait silencieux longuement, me regardant cette fois-ci fixement, me faisant sérieusement douter de la crédibilité de mon projet : L’avais-je convaincu quant à l’aide dont j’avais besoin ? Sans doute pas, Ses doigts tapotaient les accoudoirs du fauteuil, comme s’Il était un peu agacé, Il soupirait, puis enfin, décidait de prendre la parole.
    
    - Alex, est-ce vraiment la seule raison de ta venue ici, près de moi ? N’as-tu rien d’autre à me demander ?
    
    Je notais que Monsieur le Marquis venait, pour la première fois de me tutoyer. Je devais être rouge pivoine, et avais une nouvelle fois le souffle court, je baissais la tête sentant mes joues s’empourprer, je transpirais de nouveau, et j’étais véritablement tétanisé par Ses deux questions auxquelles je ne m’attendais pas du tout.
    
    - Allons, parle, sinon nous en resterons là !, reprenait autoritairement le Châtelain
    
    Je reprenais mon courage à deux mains :
    
    - Oui effectivement Monsieur le Marquis, j’ai une requête à vous faire.
    
    - Laquelle ?
    
    - Je souhaiterai, s’il vous plait, rencontrer, un prénommé Marcel, qui travaille chez vous et qui vinifie votre excellent vin. J’ai gouté ce vin hier au soir, je l’ai ...
    ... trouvé non pas excellent, mais simplement sublime. Pourriez-vous m’autoriser à échanger avec lui afin que lui aussi me donne des conseils sur la vinification ?
    
    - Tout ça ne dépend que de toi !
    
    Je ne comprenais pas, je restais quelque peu ahuri, stupéfait devant une telle réponse et devant cet Homme qui m’impressionnait et m’excitait tout autant. Tout cela produisait en moi, un trouble, à la fois de timidité et d’excitation inexplicable… Subitement Il se redressait, avançait vers moi, puis caressait ma chevelure avant de l’empoigner énergiquement pour me tirer la tête en arrière. Il posa Son autre et large main contre mon torse afin de me plaquer contre mon siège. Il me fixa yeux dans les yeux, le regard sévère qui visiblement scrutait mes pensées, on aurait dit qu’Il lisait dans celles-ci. Il laissa du temps au temps par un silence conséquent, lourd, et qui dura juste une trentaine de secondes mais qui me semblait être une éternité. J’entendais seulement le bruit régulier d’un tic-tac du lourd balancier d’une impressionnante et haute horloge comtoise, trônant à gauche sur le sol, près de la porte d’entrée. Le Noble reprenait alors et toujours dans une voix extrêmement calme, froide et posée mais qui n’autorisait pas à se rebeller, du moins qui ne donnait pas envie de le faire, tellement le ton était impérieux, parfaitement maîtrisé, comme si chaque mot avait été choisi :
    
    - Ne Me mens pas, ne te mens pas à toi-même d’ailleurs. Tu n’es pas venu ici pour Me parler uniquement ...
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